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Gouvernement - L’opposition participera à sa manière au processus constitutionnel La présidence de la République fixe à mercredi la date des consultations

Après la démission du gouvernement Omar Karamé, le 28 février dernier, la présidence de la République a fixé à mercredi 9 mars la date des consultations parlementaires impératives devant conduire à la nomination d’un nouveau chef du gouvernement. L’opposition participera à sa manière au processus constitutionnel. Les députés Ghounwa Jalloul (courant du Futur) et Farès Souhaid, remettront au président de la République un mémoire comprenant les conditions pour nommer un nouveau chef de gouvernement. Ces conditions sont judiciaires, politiques et administratives. L’opposition réclame la vérité sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, un retrait syrien avant la date des élections et la démission des chefs des services de sécurité défaillants. Selon certains milieux politiques, le temps presse, car le mandat de la Chambre actuelle s’achève le 31 mai prochain et qu’un nouveau gouvernement doit avoir obtenu la confiance de la Chambre avant cette date. Mais les juristes ne craignent pas vraiment un « vide constitutionnel » et invoquent le principe de la continuité des institutions pour écarter la possibilité d’une crise de régime.

Après la démission du gouvernement Omar Karamé, le 28 février dernier, la présidence de la République a fixé à mercredi 9 mars la date des consultations parlementaires impératives devant conduire à la nomination d’un nouveau chef du gouvernement.
L’opposition participera à sa manière au processus constitutionnel. Les députés Ghounwa Jalloul (courant du Futur) et Farès...