Les actions, visiblement tous azimuts, que mènent les puissances arabes, en tandem avec la communauté internationale, pour trouver une sortie « honorable » du Liban à la Syrie, ne sont pas étrangères au timing des propos tenus hier au Caire par le ministre syrien des Affaires étrangères. « La Syrie est engagée à respecter sans conditions toutes ses obligations découlant de l’accord de Taëf », a dit hier Farouk el-Chareh, reconnaissant que la mise en œuvre de cet accord signé en 1989 « est une application indirecte de la résolution 1559 » de l’Onu. En outre, le chef de la diplomatie syrienne est attendu aujourd’hui à Ryad (où se trouve déjà un émissaire algérien), sachant déjà que les responsables saoudiens souhaitent obtenir de lui, selon un responsable wahhabite cité par l’AFP, des « informations » sur l’assassinat de Rafic Hariri.
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et l’article de Ziyad MAKHOUL
Les actions, visiblement tous azimuts, que mènent les puissances arabes, en tandem avec la communauté internationale, pour trouver une sortie « honorable » du Liban à la Syrie, ne sont pas étrangères au timing des propos tenus hier au Caire par le ministre syrien des Affaires étrangères. « La Syrie est engagée à respecter sans conditions toutes ses obligations découlant de...
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