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Satterfield répond à Chareh : Il est temps de joindre l’acte à la parole

Nous voulons des actes concrets et non plus des promesses, a martelé hier le vice-secrétaire d’État adjoint pour les Affaires du Proche-Orient, David Satterfield, lors d’une intervention télévisée dans le cadre du programme Kalam el-Nass, sur la LBCI. Commentant le récent entretien du ministre des Affaires étrangères syrien, Farouk el-Chareh, avec son homologue italien, Gianfranco Fini, M. Satterfield a affirmé que l’Administration US ne se contentera plus de promesses verbales, mais exige désormais de voir Damas prendre des initiatives « concrètes ». Si les Syriens sont véritablement prêts à contrôler le Hezbollah, nous exigeons de voir cela se traduire dans les faits, a dit en substance le diplomate US. Ce dernier a en outre réitéré la disposition des États-Unis de faire appliquer la 1559 qui suppose le désarmement du parti intégriste et le retrait définitif des troupes syriennes du Liban. De son côté, l’ancien ambassadeur US en Israël, Martin Indyk, a affirmé hier que la « présence syrienne au Liban n’est plus justifiée ». Évoquant la nécessité de faire appliquer la 1559, il a indiqué que « les pressions américaines se poursuivront jusqu’à ce que Damas retire ses troupes du Liban ».
Nous voulons des actes concrets et non plus des promesses, a martelé hier le vice-secrétaire d’État adjoint pour les Affaires du Proche-Orient, David Satterfield, lors d’une intervention télévisée dans le cadre du programme Kalam el-Nass, sur la LBCI.
Commentant le récent entretien du ministre des Affaires étrangères syrien, Farouk el-Chareh, avec son homologue italien,...