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Pakradouni évoque un effondrement du Liban suite à la 1559

Le chef du parti Kataëb, l’ancien ministre Karim Pakradouni, a tenu hier une conférence de presse au siège du parti en présence du secrétaire général et des membres du bureau politique. M. Pakradouni a justifié cette rencontre par le fait qu’elle vise « à tirer la sonnette d’alarme pour prévenir du risque de voir la compétition électorale se transformer en un conflit politique ouvert à tous les dangers ». Une situation qui « prélude à une scission interne entre deux projets : celui des accords de Taëf qui suppose le choix de l’unité nationale, d’une part, et le projet de la 1559 ou le choix de la discorde confessionnelle, d’autre part ». Et M. Pakradouni d’affirmer clairement que « son parti est avec les accords de Taëf, contre la résolution 1559, et reste attaché à la légalité internationale et aux décisions qui en découlent ». Après avoir exprimé « son respect » envers l’émissaire de l’Onu pour la 1559, Terjé Roed-Larsen, « ainsi que pour l’institution qu’il représente », le chef des Kataëb a affirmé qu’il « ne se montrera pas toutefois complaisant envers lui aux dépens de la nation ». Il s’est en outre demandé si « l’Onu était capable de redresser la situation au cas où le Liban s’effondrerait des suites de l’application de la 1559 ».
Le chef du parti Kataëb, l’ancien ministre Karim Pakradouni, a tenu hier une conférence de presse au siège du parti en présence du secrétaire général et des membres du bureau politique. M. Pakradouni a justifié cette rencontre par le fait qu’elle vise « à tirer la sonnette d’alarme pour prévenir du risque de voir la compétition électorale se transformer en un conflit politique...