Elles sont deux désormais à être tombées dans le piège des preneurs d’otages de Bagdad. Deux femmes, deux journalistes expérimentées. De la première, la Française Florence Aubenas, on est sans nouvelles depuis un mois exactement. Sa consœur italienne Giuliana Sgrena a, quant à elle, été kidnappée hier en plein Bagdad par des hommes armés alors qu’elle travaillait sur le même sujet que Florence, les déplacés de Falloujah ayant trouvé refuge près d’une mosquée dans l’Université de Bagdad. Pendant ce temps, le dépouillement des votes se poursuivait, les derniers résultats partiels donnant toujours en tête, sans surprise, la liste chiite soutenue par le grand ayatollah Sistani.
Elles sont deux désormais à être tombées dans le piège des preneurs d’otages de Bagdad. Deux femmes, deux journalistes expérimentées. De la première, la Française Florence Aubenas, on est sans nouvelles depuis un mois exactement. Sa consœur italienne Giuliana Sgrena a, quant à elle, été kidnappée hier en plein Bagdad par des hommes armés alors qu’elle travaillait sur le même...
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