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Municipalités « Les raisons d’annuler le projet de Palais des congrès n’ont convaincu personne », estime Ariss

« Les raisons de l’annulation (par le Conseil des ministres) des expropriations en vue de l’édification du Palais des congrès à Beyrouth n’ont convaincu personne », a estimé hier Abdel Menhem Ariss, président du conseil municipal de la ville. Il s’est dit inquiet que « cette décision ne s’inscrive dans le cadre d’une politique générale visant à punir les habitants de la capitale pour leurs choix politiques ». M. Ariss a considéré que « la décision d’annuler le Palais des congrès a été très mal perçue par les habitants de Beyrouth, dont je suis, parce qu’elle prive la capitale d’un bâtiment d’intérêt public très important qui en aurait fait un centre régional et international, et aurait dynamisé le tourisme et les services ». Il a rappelé que « le projet devait être exécuté par le secteur privé, et n’aurait coûté que des sommes modestes à l’État, comparé aux revenus qu’il aurait pu générer et les milliers d’emplois qu’il aurait créés ». Le président du conseil municipal a espéré que « le Conseil des ministres revienne rapidement sur sa décision, afin de ne plus être accusé de vouloir sanctionner les habitants de la capitale, ainsi que pour rassurer les investisseurs, parce que des projets tels que le Palais des congrès sont désormais une nécessité pour Beyrouth ».
« Les raisons de l’annulation (par le Conseil des ministres) des expropriations en vue de l’édification du Palais des congrès à Beyrouth n’ont convaincu personne », a estimé hier Abdel Menhem Ariss, président du conseil municipal de la ville. Il s’est dit inquiet que « cette décision ne s’inscrive dans le cadre d’une politique générale visant à punir les habitants de la...