La polémique sur un éventuel report des élections générales irakiennes prévues pour le 30 janvier prend de l’ampleur. Après le ministre de la Défense, Hazem Chaalane, c’était au tour hier du président irakien, Ghazi al-Yaouar, d’évoquer un report du scrutin. Le président a toutefois rejeté la responsabilité de cette décision sur l’Onu. Dans le même temps, le ministre des Affaires étrangères, se faisant l’écho de la position américaine, réaffirmait que les élections auraient lieu à la date prévue.
Un débat alimenté par la violence qui ne cesse d’enfler. Hier, le gouverneur de Bagdad a été abattu dans une embuscade dans la capitale, théâtre de nouvelles attaques qui ont coûté la vie à 31 personnes, dont huit policiers. Cinq soldats américains ont également été tués lors d’une attaque au nord de Bagdad.
La polémique sur un éventuel report des élections générales irakiennes prévues pour le 30 janvier prend de l’ampleur. Après le ministre de la Défense, Hazem Chaalane, c’était au tour hier du président irakien, Ghazi al-Yaouar, d’évoquer un report du scrutin. Le président a toutefois rejeté la responsabilité de cette décision sur l’Onu. Dans le même temps, le ministre des...
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