L’attentat de Ryad place à nouveau l’Arabie saoudite, un allié sous haute surveillance à Washington, au centre des inquiétudes américaines en matière de terrorisme. Washington reste en effet toujours soupçonneux vis-à-vis de ce pays, et préoccupé par sa possible déstabilisation.
Le président américain George W. Bush a assuré hier le prince héritier saoudien Abdallah que les États-Unis soutenaient son pays face au terrorisme.
Le secrétaire d’État adjoint Richard Armitage, arrivé hier soir dans la capitale saoudienne, a déclaré de son côté que « l’attentat est probablement l’œuvre d’el-Qaëda ».
Washington avait envoyé, avant même cet événement, des signaux d’alarme, en annonçant la fermeture de son ambassade à Ryad samedi, affirmant que des menaces d’attentats étaient passées de la phase de conception à celle de l’exécution.
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Le président américain George W. Bush a assuré hier le prince héritier saoudien Abdallah que les États-Unis soutenaient son pays face au terrorisme.
Le secrétaire d’État adjoint Richard Armitage, arrivé hier soir dans la capitale saoudienne, a déclaré de son côté que « l’attentat est probablement l’œuvre d’el-Qaëda ».
Washington avait envoyé, avant même cet événement, des signaux d’alarme, en annonçant la fermeture de son ambassade à Ryad samedi, affirmant que des menaces d’attentats étaient passées de la phase de conception à celle de l’exécution.
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L’attentat de Ryad place à nouveau l’Arabie saoudite, un allié sous haute surveillance à Washington, au centre des inquiétudes américaines en matière de terrorisme. Washington reste en effet toujours soupçonneux vis-à-vis de ce pays, et préoccupé par sa possible déstabilisation.Le président américain George W. Bush a assuré hier le prince héritier saoudien Abdallah...
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