M. Boueiz n’a pas hésité à tirer à boulets rouges contre l’État qui, « du fait de sa mauvaise gestion, a gaspillé des millions de dollars d’aides étrangères », estimant que « la confiance du citoyen dans les prestations des autorités est quasi nulle ». Le ministre de l’Environnement a effectué un tour d’horizon des problèmes écologiques du pays, rappelant entre autres que « 90 % du territoire libanais n’est pas couvert de réseaux d’égouts, d’où le fait que beaucoup considèrent que toutes les sources d’eau inférieures à 1 600 mètres seraient polluées ».
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Environnement Un plan quinquennal prévoyant vingt stations d’épuration et huit décharges, annonce Boueiz
le 27 octobre 2003 à 00h00
M. Boueiz n’a pas hésité à tirer à boulets rouges contre l’État qui, « du fait de sa mauvaise gestion, a gaspillé des millions de dollars d’aides étrangères », estimant que « la confiance du citoyen dans les prestations des autorités est quasi nulle ». Le ministre de l’Environnement a effectué un tour d’horizon des problèmes écologiques du pays, rappelant entre autres que « 90 % du territoire libanais n’est pas couvert de réseaux d’égouts, d’où le fait que beaucoup considèrent que toutes les sources d’eau inférieures à 1 600 mètres seraient polluées ».
Farès Boueiz, ministre de l’Environnement, a dévoilé l’existence d’un plan quinquennal préparé par son ministère, prévoyant la construction de vingt stations d’épuration des eaux usées et l’installation de huit décharges sanitaires qui recevront les déchets ménagers de l’ensemble du pays. Lors de son intervention dans le cadre du colloque intitulé « Les...
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