Omar Karamé a ainsi espéré que ce plan de sauvetage permettrait de créer un véritable courant national, « capable de faire face à tous les extrémismes, à tous les problèmes et à toutes les difficultés ». Lequel courant devrait idéalement, selon lui, « se développer pour devenir un grand parti politique ». L’ancien locataire du Sérail, pourtant réputé proche du chef de l’État, a enfin asséné que l’opération de réforme « n’est pas sérieuse ». Précisant, devant une délégation de différentes forces beyrouthines qu’il a reçue hier, que « ce n’(était) pas ainsi qu’il (concevait) une réforme ».
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Opposition Karamé : Ce n’est pas ainsi que je conçois une réforme (photo)
le 11 septembre 2003 à 00h00
Omar Karamé a ainsi espéré que ce plan de sauvetage permettrait de créer un véritable courant national, « capable de faire face à tous les extrémismes, à tous les problèmes et à toutes les difficultés ». Lequel courant devrait idéalement, selon lui, « se développer pour devenir un grand parti politique ». L’ancien locataire du Sérail, pourtant réputé proche du chef de l’État, a enfin asséné que l’opération de réforme « n’est pas sérieuse ». Précisant, devant une délégation de différentes forces beyrouthines qu’il a reçue hier, que « ce n’(était) pas ainsi qu’il (concevait) une réforme ».
L’ancien Premier ministre et membre fondateur, avec Hussein Husseini, Sélim Hoss, Nayla Moawad, Boutros Harb et Albert Mansour, du Front national pour le salut (FNS), a estimé hier que ce dernier est né à cause du vide politique « ressenti par tous ». Confirmant la mise sur pied d’un comité d’experts, dans tous les domaines, qui seront chargés d’établir une étude...
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