Le congrès, qui se déroule à la Maison de l’Onu, place Riad el-Solh, se poursuivra jusqu’à demain jeudi, en présence de nombreux diplomates et spécialistes des affaires du développement et des handicapés, venus notamment de Syrie, de Qatar, d’Égypte, du Koweït et d’Arabie saoudite.
Dans l’allocution qu’il a prononcée pour l’occasion, M. Diab a mis l’accent sur les mesures prises par l’État en vue d’une insertion réussie des handicapés dans la vie sociale et active. « Dans sa quête pour le développement et le redressement, le Liban a besoin de la participation de tous ses fils, dont les handicapés qui, lorsqu’ils bénéficient de la formation nécessaire et lorsque leurs problèmes sont traités de manière adéquate, peuvent devenir des membres actifs de la société », a déclaré le ministre, soulignant que, pour lui, le principal point à l’ordre du jour du congrès se rapporte aux droits des handicapés dans les plans de développement.
Dans le même ordre d’idées, il a appelé à considérer « le droit absolu de ces individus au travail, à l’éducation, à la circulation et à l’autonomie, comme étant une réalité sacrée qui ne tolère aucune concession ».
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