Le ministre australien de la Justice, Daryl Williams, a expliqué devant le Parlement que les États-Unis et la Grande-Bretagne avaient déjà banni le Hezbollah, à la différence de l’Australie, qui ne peut légalement interdire que les organisations figurant sur une « liste noire » établie par le Conseil de sécurité de l’Onu.
Arguant que l’Australie devait s’armer face à d’éventuelles « menaces », M. Williams a appelé l’opposition travailliste à voter un amendement autorisant le gouvernement à agir contre des groupes ne figurant pas sur la liste onusienne, de façon à pouvoir interdire le Hezbollah.
Les plus commentés
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban
Le Liban... nouveau ministre des Affaires étrangères d’Assad ?
Mobilisation propalestinienne à la Sorbonne : des étudiantes racontent à « L’OLJ » leur arrestation