Les Quinze ont tenté hier de freiner les ardeurs guerrières américaines contre l’Irak, plaidant pour donner du temps aux inspections de l’Onu et appelant à éviter un conflit armé avec le régime de Bagdad. Les dirigeants européens ont mêlé leurs voix à celle de Londres, le plus fidèle allié des États-Unis dans la crise irakienne, qui a exigé pour la première fois hier un examen de la question par le Conseil de sécurité de l’Onu avant toute action militaire. Ces signes d’apaisement surviennent alors que le Pentagone annonçait hier l’envoi de 25 000 soldats supplémentaires vers la région du Golfe, tout en restant flou sur l’échéance d’une éventuelle opération militaire.
Les Quinze ont tenté hier de freiner les ardeurs guerrières américaines contre l’Irak, plaidant pour donner du temps aux inspections de l’Onu et appelant à éviter un conflit armé avec le régime de Bagdad. Les dirigeants européens ont mêlé leurs voix à celle de Londres, le plus fidèle allié des États-Unis dans la crise irakienne, qui a exigé pour la première fois...
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