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CRIME - L’alibi n°1 du pouvoir mis à rude épreuve après l’assassinat du jeune conscrit La stabilité sécuritaire une nouvelle fois dynamitée
le 03 janvier 2003 à 00h00
L’alibi n°1 du pouvoir, ce dont il n’a de cesse de s’enorgueillir, a été une nouvelle fois mis à rude épreuve. Un jeune conscrit de 19 ans, Antoine Kourd, a été assassiné en pleine caserne, lundi à Dékouané, par un de ses camarades, Hussein Khalaf. Après le massacre de l’Unesco, après la tentative de meurtre, en plein Palais de justice, contre le juge Fady Maroun Nachar, après les militaires tués autour d’Aïn el-Héloué, après Ramzi Irani, cela fait sans doute beaucoup. Et pousse bon nombre d’observateurs à évoquer l’existence d’un complot de déstabilisation et la quasi-majorité des Libanais à souhaiter que le pouvoir, visiblement incapable de garantir la démocratie et les libertés publiques, puisse au moins assurer la sécurité dans le pays. Page 4
L’alibi n°1 du pouvoir, ce dont il n’a de cesse de s’enorgueillir, a été une nouvelle fois mis à rude épreuve. Un jeune conscrit de 19 ans, Antoine Kourd, a été assassiné en pleine caserne, lundi à Dékouané, par un de ses camarades, Hussein Khalaf. Après le massacre de l’Unesco, après la tentative de meurtre, en plein Palais de justice, contre le juge Fady Maroun...
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