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Actualités - OPINIONS

Barrique d’Ariel

Exit donc Barak, le nabot casseur de baraques, et voici venu Sharon-le-char, l’Ariel qui lave plus rouge. Fanatique, moche et gros : y en a vraiment qui exagèrent ! D’ailleurs, même modéré, beau et svelte, faudrait une sacrée dose de baryum pour le rendre comestible, l’Arik imbibé d’arak. Je te fiche mon billet que le décor va bientôt changer chez nos voisins. La Bête des sables va donner un sérieux coup de balai parmi les quadras travaillistes à col ouvert, qui seront remplacés fissa par les octas et nonas à papillotes. Des agités de la kippa, frigides le shabbat, rigides sur les abats. D’ailleurs, il n’y a pas grand-chose à tirer de ce pansu à la pensée unique. Avant même son installation à la place du gnome au sourire béat, il avait déjà annoncé la couleur : une Palestine découpée en tranches autonomes entre lesquelles les indigènes continueront à jouer à saute-mouton ; une Jérusalem renvoyée à Mathusalem ; des lance-flammes et des bonbons à l’uranium du pauvre pour les enragés de la pierre. De quoi faire grimper à 7,2 sur l’échelle de Richter la tremblote buccale chez Arafat. Mais bon, les Hébreux ont voté pour lui. Concept encore inconnu chez les Arabes, la démocratie, c’est aussi l’alternance. Alors maintenant, en Israël, c’est tout bêtement le tour des cons…
Exit donc Barak, le nabot casseur de baraques, et voici venu Sharon-le-char, l’Ariel qui lave plus rouge. Fanatique, moche et gros : y en a vraiment qui exagèrent ! D’ailleurs, même modéré, beau et svelte, faudrait une sacrée dose de baryum pour le rendre comestible, l’Arik imbibé d’arak. Je te fiche mon billet que le décor va bientôt changer chez nos voisins. La Bête...