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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Drogue - Un satisfecit de l'Onu La culture du cannabis a disparu au Liban

Selon le rapport annuel de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) de l’Onu, le cannabis demeure la drogue la plus répandue au Proche-Orient, exception faite du Liban où «la culture illicite du cannabis a virtuellement disparu». Par ailleurs, «aucune culture illicite du pavot et aucune fabrication d’opiacés à grande échelle n’ont été découvertes au Liban mais le risque existe que les exploitants reprennent les cultures illicites». L’abus de cocaïne est limité au Liban et à Israël, ce dernier pays enregistrant également une augmentation de la consommation de LSD, d’ecstasy et de drogues synthétiques. Enfin, le nombre de saisies de calmants, drogue répandue dans certains pays arabes, a diminué en Arabie séoudite et en Syrie. Le rapport souligne par contre que le Liban (au même titre qu’Israël et les pays du Golfe) «n’a encore pris aucune mesure stricte de lutte contre le blanchiment de l’argent». Pour sa part, le général Abdel Karim Ibrahim, directeur général des FSI, a affirmé hier dans une conférence de presse que le Liban a «mis en place un cadre juridique qui pénalise le blanchiment de l’argent et un protocole interbancaire». Sur le plan international, le rapport souligne l’abus d’antidépresseurs dans les pays riches, les niveaux records de production dans les pays asiatiques et le fait que l’Iran est un des marchés principaux de l’opium.
Selon le rapport annuel de l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) de l’Onu, le cannabis demeure la drogue la plus répandue au Proche-Orient, exception faite du Liban où «la culture illicite du cannabis a virtuellement disparu». Par ailleurs, «aucune culture illicite du pavot et aucune fabrication d’opiacés à grande échelle n’ont été découvertes...