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Actualités - COMMUNIQUES ET DECLARATIONS

Mise au point

Suite à l’information parue en page 2 dans notre édition du jeudi 7 janvier, sous le titre Ogero cet inconnu, le vice-président de cet organisme, M. Gaby Khoury, nous fait savoir qu’Ogero ne travaillait pas «sous la supervision directe d’une société française, Deloitte et Touche». «Depuis 1993, et à la suite d’un appel d’offres lancé par le CDR et financé par la Banque mondiale, le consortium Deloitte et Touche/Ceris a été le conseiller, avec d’autres consultants et prestataires de services (dont un opérateur de télécommunications), du ministère des P et T jusqu’en 1995, puis d’Ogero à partir de mars 1998», a expliqué M. Khoury. «Il avait pour mission la définition d’objectifs et la mise en place de systèmes devant permettre à Ogero dans un premier temps puis à une entité juridique distincte d’Ogero dans un deuxième temps (dès qu’un projet de loi aura créé cette entité) d’assurer les fonctions d’un opérateur national des télécommunications au Liban, la fonction de réglementation devant être créée et développée au sein du ministère des P et T», a-t-il précisé. Selon M. Khoury, «le rôle du consortium Deloitte et Touche/Cecis a été limité à un rôle de conseil et n’a en aucun cas consisté en une supervision directe d’Ogero, ce rôle étant bien entendu de la responsabilité du conseil d’administration, des dirigeants actuels d’Ogero et du ministère des P et T sous la tutelle duquel est placé Ogero. De plus, Deloitte et Touche n’est pas une société française mais une société internationale d’audit et de conseil».
Suite à l’information parue en page 2 dans notre édition du jeudi 7 janvier, sous le titre Ogero cet inconnu, le vice-président de cet organisme, M. Gaby Khoury, nous fait savoir qu’Ogero ne travaillait pas «sous la supervision directe d’une société française, Deloitte et Touche». «Depuis 1993, et à la suite d’un appel d’offres lancé par le CDR et financé par la...