
Des réfugiés syriens au milieu des décombres calcinés du camp de Hamed el-Hassan, près de Zahlé, incendié le 22 avril 2024. Photo Mohammad Yassine/L'Orient-Le Jour
Dans le contexte libanais, l’usage de ces termes a une incidence concrète, se traduisant par des statuts juridiques auxquels un certain nombre de droits et de protections est rattaché.
OLJ / Par Gabriel BLONDEL, le 30 avril 2024 à 10h33
Des réfugiés syriens au milieu des décombres calcinés du camp de Hamed el-Hassan, près de Zahlé, incendié le 22 avril 2024. Photo Mohammad Yassine/L'Orient-Le Jour
Il est aberrant et révoltant que ces Puissances occidentales laissent le Liban porter tout ce poids et insistent pour qu'ils restent sur notre territoire ! INCONCEVABLE !
Que MM Macron et Shultz et Mme Van der Leyen les prennent. Ils seront très bien en Europe. You love them? Take them
ILS NE SONT PAS DES MIGRANTS. LES MIGRANTS MIGRENT A LA RECHERCHE DE MEILLEURS JOURS ECONOMIQUES. ILS NE SONT PAS DES DEPLACES. LES DEPLACES SE DEPLACENT A L,INTERIEUR DES FRONTIERES DE LEUR PAYS. ILS SONT DES REFUGIES QUI ONT FUI LEUR PAYS EN GUERRE CIVILE POUR Y RETOURNER QUAND LE SECURITE L,Y PERMIRA. OR PLUS DE LA MOITIE DE LA SYRIE EST SECURISEE AUJOURD,HUI. ILS DEVRAIENT Y RETOURNER A LEUR PATRIE.
Merci
Il est aberrant et révoltant que ces Puissances occidentales laissent le Liban porter tout ce poids et insistent pour qu'ils restent sur notre territoire ! INCONCEVABLE !
21 h 29, le 30 avril 2024