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Société - Récit

Partir « par tous les moyens », le périple d’un Libanais pour fuir Haïti

Venu à Port-au-Prince pour un voyage d’affaires de 7 jours, George Sadaka y restera coincé plus d’un mois. 

Partir « par tous les moyens », le périple d’un Libanais pour fuir Haïti

Georges Sadaka, de retour chez lui après plus d’un mois coincé à Haïti. Sur son téléphone, la photo du jour de son départ à partir de la République dominicaine. Photo Mohammed Yassine

Quand il a quitté Aïn Aalaq, son village du Metn, fin février pour se rendre dans les Caraïbes, à Haïti, Georges Sadaka ne savait pas trop où il mettait les pieds. Missionné par sa société pour assurer des services auprès d’une usine de plastique à Port-au-Prince, la capitale haïtienne, cet électricien de 38 ans n’en était pas à son premier voyage d’affaires : une fois par mois, il part, généralement en Europe ou en Afrique. À l’autre bout de l’Atlantique, cette fois-ci, ce jeune papa d’une petite fille de trois ans l’assure en riant : « Je ne connaissais rien du pays. »Arrivé le 26 février, il est accueilli à l’aéroport par ses clients… en voiture blindée. Le trentenaire avait fait ses recherches avant de partir. Les États-Unis avaient classé le pays au niveau 4, soit celui où ils demandent à leurs ressortissants de « ne pas voyager »....
Quand il a quitté Aïn Aalaq, son village du Metn, fin février pour se rendre dans les Caraïbes, à Haïti, Georges Sadaka ne savait pas trop où il mettait les pieds. Missionné par sa société pour assurer des services auprès d’une usine de plastique à Port-au-Prince, la capitale haïtienne, cet électricien de 38 ans n’en était pas à son premier voyage d’affaires : une fois par mois, il part, généralement en Europe ou en Afrique. À l’autre bout de l’Atlantique, cette fois-ci, ce jeune papa d’une petite fille de trois ans l’assure en riant : « Je ne connaissais rien du pays. »Arrivé le 26 février, il est accueilli à l’aéroport par ses clients… en voiture blindée. Le trentenaire avait fait ses recherches avant de partir. Les États-Unis avaient classé le pays au niveau 4, soit celui où ils demandent...
commentaires (3)

Dites, HAÏTI, ce n'est pas ex-France ? Colonies ou territoire kif kif . Monsieur, pour votre prochain voyage, tâchez d'éviter les EX-COLONIES Française.

aliosha

19 h 38, le 23 avril 2024

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Commentaires (3)

  • Dites, HAÏTI, ce n'est pas ex-France ? Colonies ou territoire kif kif . Monsieur, pour votre prochain voyage, tâchez d'éviter les EX-COLONIES Française.

    aliosha

    19 h 38, le 23 avril 2024

  • Bon retour M SADAKA. Heureusement votre employeur qui vous a demandé d’aller à HAITI, dans le cadre de votre boulot… Cet employeur a assumé ses responsabilités et a décaissé ces 25 mille dollars pour cette entreprise privée qui vous a ramené. Hamdellah 3asalémé.

    LE FRANCOPHONE

    15 h 06, le 23 avril 2024

  • Pas très intelligent ce monsieur Sadaka tout le monde sait que Haïti c’est pire que l’enfer

    Eleni Caridopoulou

    13 h 28, le 23 avril 2024

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