
« Un nouveau monde multipolaire », peut-on lire sur un panneau publicitaire à Beyrouth. Photo Sputnik/Abed.K Bay
Si des initiatives en soutien au maître du Kremlin ont refait surface au Liban pendant cette période électorale, elles restent surtout symboliques.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 16 mars 2024 à 12h07
« Un nouveau monde multipolaire », peut-on lire sur un panneau publicitaire à Beyrouth. Photo Sputnik/Abed.K Bay
C'est très simple. Sans l'intervention massive et sous estimée de la Russie en Syrie, on aurait eu un régime Daesh à Damas. Au Sud, les Israéliens, et Nord Est l'Etat Islamique. Très sympa.
Sale type !
Si c'est du soft power russe que serait donc le hard power russe? Une attaque nucléaire comme poutine annonce de temps en temps?
"… le « soft power » russe …" - Moi je me demande ce que la veuve de Navalny pense de cette assertion…
Only in Lebanon. Quel honte!
Quelle pagaille
LA VACHE LIBANAISE AIME CEUX QUI LA TRAIENT, LUI DONNENT A BROUTER QUELQUES DOLLARS, ET LUI IMPOSENT LEURS ARRETS ET VERDICTS AU NOM DE LA VIERGE DEMOCRATIE VIOLEE PAR EUX PARTOUT JOUR ET NUIT ET DE TOUTE PART.
"soft power russe" c'est un oxymore que goûteront ceux que Poutine a pris pour cible
Il est temps que le libanais moyen se rende compte enfin que le seul dirigeant de la planète sincère qui pourrait les sauver reste le tsar ou le saint VLADIMIR ! Il ne lâche JAMAIS ses amis , contrairement aux américains , dont l'hégémonie nous a tous écrasés , car ils n'ont de souci que leur enfant chéri Israel à défendre tandis que nous sommes des insectes pour eux !
C'est très simple. Sans l'intervention massive et sous estimée de la Russie en Syrie, on aurait eu un régime Daesh à Damas. Au Sud, les Israéliens, et Nord Est l'Etat Islamique. Très sympa.
21 h 34, le 17 mars 2024