Damas s'invite de manière inattendue dans le jeu diplomatique libanais
La protestation (tardive) de la Syrie au sujet des tours de surveillance installées à sa frontière est liée à Beyrouth aux tractations diplomatiques en cours à propos du Sud.
Des soldats Libanais postés près du village de Chadra au Akkar
Photo Michel Hallak
L’affaire des tours de surveillance installées par les Britanniques en 2014 à la frontière entre le Liban et la Syrie a soulevé au cours du week-end des vagues au pays du Cèdre. Alors que jusque-là, le régime syrien gardait profil bas à ce sujet,...
L’affaire des tours de surveillance installées par les Britanniques en 2014 à la frontière entre le Liban et la Syrie a soulevé au cours du week-end des vagues au pays du Cèdre. Alors que jusque-là, le régime syrien gardait profil bas à ce sujet,...
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Ces tours de surveillance empêchent le Hezbollah et le régime Syrien de faire ce qu'ils veulent puisqu'ils ne contrôlent plus la frontières et sont surveillés. L’armée les dérangent alors ils veulent s'assurer que si son chef devient Président, ils pourront lui donner du fil a retordre au besoin. Il semble, en effet, quelque chose bouge dans le dossier de la Présidentielle la fin de la guerre a Gaza étant proche. Quelques soient les accords, espérons que cette fois ils ne nous mettrons pas dans une mouise d'un autre genre.
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Ces tours de surveillance empêchent le Hezbollah et le régime Syrien de faire ce qu'ils veulent puisqu'ils ne contrôlent plus la frontières et sont surveillés. L’armée les dérangent alors ils veulent s'assurer que si son chef devient Président, ils pourront lui donner du fil a retordre au besoin. Il semble, en effet, quelque chose bouge dans le dossier de la Présidentielle la fin de la guerre a Gaza étant proche. Quelques soient les accords, espérons que cette fois ils ne nous mettrons pas dans une mouise d'un autre genre.
Pierre Christo Hadjigeorgiou
10 h 37, le 27 février 2024
Le regime Syrien, mercenaire, se reveille non pas pour defendre son point de vue, mais celui d'Israel qui ne veut en aucun cas que le Liban puisse obtenir des droits equivalents en matiere de surveillance de sa frontiere sud.
Michel Trad
20 h 13, le 26 février 2024
Pourquoi dire "inattendue"?La Syrie n'est plus maître de ses propres décisions.C'est devenu un Satellite de l'Iran.Ces tours sont à l'intérieur du territoire du Liban.Nous n'avons plus aucun compte aux Syriens !Ministre AE Bou machin truque, est une marionnette made of Hezbollah/ Iran!Who care, about his comments?
Marwan Takchi
16 h 26, le 26 février 2024
Une preuve de plus que le Liban du vivre ensemble avec le Hezbollah est impossible.
Lecteur excédé par la censure
10 h 31, le 26 février 2024
Ces tours se situent en territoire libanais et la Syrie n’a pas un mot à dire à leur sujet. Elle avait déjà protesté à l’époque, puis on n;en avait plus entendu parler. Pourquoi ce réveil subit? Ces tours seront effectivement utiles quand le Liban voudra contrôler la frontière syrienne, mais ce jour n’est pas encore venu. Les trafics divers, d’armes, de combattants, de dollars, de carburant ou de drogue n’ont jamais cessé, le pouvoir ne voulant pas risquer – comme au Sud – un clash avec la milice iranienne. De quoi se plaint donc Damas?
Yves Prevost
07 h 24, le 26 février 2024
Eh bien j’espère que cela va déclencher une série de lettres de protestations tardives et de demandes de compensations de la part des dizaines de milliers de Libanais dont les propriétés ont été occupées et pillées par les troupes de la "nation sœur", et souvent détruites par leurs bombardements, tout ça entre 1976 et 2005…
Gros Gnon
04 h 28, le 26 février 2024
On n’entend pas la soi-disant résistance Quand on est VRAIMENT patriote et qu’on défend son pays ce n’est pas à la carte sinon on devient comme les communistes Européens qui n’ont commencé à résister dans leur pays que quand l’Allemagne a attaqué l’URSS
Liban Libre
01 h 26, le 26 février 2024
L'Iran rejette tout projet (initiative) qui facilite (et contribue) à l'application de la 1701 (ou variante).
L'Iran transmet ses directives à travers son vassal (régime Syrien).
Le Hezbollah n'a aucun mot à dire.
Le problème du Liban est que le Hezbollah n'a aucun mot à dire.
commentaires (8)
Ces tours de surveillance empêchent le Hezbollah et le régime Syrien de faire ce qu'ils veulent puisqu'ils ne contrôlent plus la frontières et sont surveillés. L’armée les dérangent alors ils veulent s'assurer que si son chef devient Président, ils pourront lui donner du fil a retordre au besoin. Il semble, en effet, quelque chose bouge dans le dossier de la Présidentielle la fin de la guerre a Gaza étant proche. Quelques soient les accords, espérons que cette fois ils ne nous mettrons pas dans une mouise d'un autre genre.
Pierre Christo Hadjigeorgiou
10 h 37, le 27 février 2024