Il suffit de faire vœu d’allégeance et d’obéissance au barbu en baisant la bague de ce parrain autoproclamé, en signe de servitude pour pouvoir se répandre sur notre territoire qui est devenu un moulin, observé avec amertume par notre armée à qui on a pris le soin de couper les ailes en amont pour qu’elle ne daigne même pas se manifester au risque de la voir se disloquer comme dans les années 70 tellement infestée par des mercenaires au service des fossoyeurs de leur pays. On ne se refait pas.