
L'entrée principale de l'ambassade des États-Unis à Aoukar, au nord de Beyrouth, qui a été visée par des tirs mercredi 20 septembre 2023. Photo Mohammad Yassine.
Les milieux sécuritaires et politiques s'abstiennent de désigner un coupable, tandis que le mufti jaafarite, proche du Hezbollah, condamne l'incident.
OLJ / Par Salah Hijazi, le 21 septembre 2023 à 20h44
L'entrée principale de l'ambassade des États-Unis à Aoukar, au nord de Beyrouth, qui a été visée par des tirs mercredi 20 septembre 2023. Photo Mohammad Yassine.
On fait souvent référence aux anciens officiers des Forces armées qui non seulement ne sont plus sur le terrain mais sont tous politisés. Les déclarations, comme dans tout pays qui se respecte, doivent émaner des officiers en service qui sont responsables des informations données au public. Bonjour Mr. Riffeh...
Vous avez dit bizarre? Un homme armé arrive à violer le cordon infranchissable de sécurité pour tirer sur les murs de protection de l’ambassade est plus que bizarre. Cela montre que son apparence qui ne trompe personne exigeait qu’on s’interdisent de lui tirer dessus. Il y a eu des antécédents lors de la révolution libanaise avortée. Tous ces motards armés et habillés en noir étaient autorisés à percer le cordon de sécurité sans être inquiétés par peur de représailles de leurs commanditaires. Rien de nouveau sous le soleil. Voyons si les américains laisseront passer cet incident sous silence qui pourrait vite se retourner contre eux mais d’une façon plus parlante et plus nuisible. Il ne faut jamais rien leur faire passer, ils prennent le silence pour de la faiblesse. Nous savons de quoi nous parlons.
C'aurait ete utile de nous dire ce qu'il est advenu du tireur...
C est simple, si on retrouve et on arrête le tirreur, c est que ce n'est pas le Hezbollah. Si l'enquête n'aboutit pas, et le tireur n'est pas appréhendé, c est que c'est bien le Hezbollah.
Que veut l’Iran une guerre civile?
C’est d’une lâcheté extrême dont a fait preuve le tireur qui a pris la fuite. Il doit être retrouvé pour dénoncer ses commanditaires à moins qu’i n’ait agi en solitaire. Si c’est le cas, le Hezbollah doit le retrouver vivant plutôt que mort et le remettre aux forces de sécurité pour se dédouaner du tireur. Et que font les points de contrôles de l’armée et de la sécurité pour laisser passer cet homme en moto armé d’une kalachnikov..
commentaires (6)
On fait souvent référence aux anciens officiers des Forces armées qui non seulement ne sont plus sur le terrain mais sont tous politisés. Les déclarations, comme dans tout pays qui se respecte, doivent émaner des officiers en service qui sont responsables des informations données au public. Bonjour Mr. Riffeh...
Raed Habib
11 h 27, le 22 septembre 2023