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Nos Lecteurs ont la Parole

Aux Libanais de la diaspora

Nous faisons de notre mieux pour unir la diaspora. Malheureusement, certains s’emploient à contrecarrer nos projets et trouvent un malin plaisir à mettre des bâtons dans les roues sous quelque forme que ce soit.

Surtout, continuez votre travail de désunion. Continuez à distiller votre venin par tous les moyens. Quelle horreur, parler d’union, de discussion, de vivre-ensemble, surtout pas. Continuez à saper toute tentative d’union sous quelque forme qu’elle soit. Continuez à suivre les diktats de vos maîtres. Surtout ne lâchez rien, vous êtes de bons soldats au service de vos maîtres, obéissez, vous serez félicités et vous aurez la bienveillance de vos maîtres, ils vous le rendront au centuple, vous obtiendrez tel poste pour vous ou votre progéniture, vous avez tout à gagner.

Je rêve d’un pays, d’État de droit, vous le connaissez tous puisque vous êtes dans des pays démocratiques où bizarrement vous êtes heureux de vivre et vous êtes reconnaissants à votre pays d’adoption.

Vous ne trouvez aucune dissonance entre le pays où vous vivez et celui qui est supposé être le vôtre ?

C’est curieux, cette bipolarité dont vous faites preuve, ce qui vous paraît tout à fait normal dans vos pays d’adoption ne semble pas s’appliquer à votre patrie… Déni ? Oubli ? Indifférence ? Que dire ?

J’affirme et je répète que notre seule voie de sortie est dans l’union, union pour les mêmes projets, les mêmes buts, la même vision pour le Liban de droit que nous voulons, bientôt il sera trop tard…


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « Courrier » n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, « L’Orient-Le Jour » offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires, ni injurieux, ni racistes.

Nous faisons de notre mieux pour unir la diaspora. Malheureusement, certains s’emploient à contrecarrer nos projets et trouvent un malin plaisir à mettre des bâtons dans les roues sous quelque forme que ce soit.Surtout, continuez votre travail de désunion. Continuez à distiller votre venin par tous les moyens. Quelle horreur, parler d’union, de discussion, de vivre-ensemble,...

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