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Nos Lecteurs ont la Parole

Paradoxe de la vie

Il y aura des jours étincelés de lumière

D’autres noircis par des nuages

Il y aura des jours de doutes, d’injustices, de remise en question

Des jours gris et vains

Il y aura des jours de pleurs et de cris inouïs

Où la nuit attendra le jour et le jour attendra la nuit

Des jours où tes larmes

Qui parlent beaucoup plus que ta bouche

Raconteront un mythe de la douleur

Des jours où tu vas t’assoupir sur ton lit

Suffoquant au lieu de respirer

Existant au lieu de vivre

Où ton cœur, comme un cuir

Va se tanner avec les épreuves

Des jours où tu auras l’impression que tu déplaces des montagnes

Des jours où la vie manque à ta vie

Où le miroir est ton unique interlocuteur

Mais il y aura des jours printaniers

Où la maladie se fait oublier

Des jours où tu découvriras

Les rêves de ton enfance

Les charmes de ton avenir

Des jours où tu seras

Toi et le bonheur

Fusionnels

Comme des mains qui se réchauffent auprès d’un âtre en hiver

Des jours où le bonheur qui s’avive au fin fond de toi

Aura la douceur d’un rêve

Une douceur que tu peux aimer

Des jours où la douleur s’estompera

Quand tu ouvriras ta fenêtre

Pour ressentir le froid aigre sur tes rides

Des jours où ta vie

Pittoresque et en bohème

Sera une gloire et une victoire

À elle seule.

Et c’est là que tu t’y accrocheras…

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « Courrier » n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, « L’Orient-Le Jour » offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires, ni injurieux, ni racistes.

Il y aura des jours étincelés de lumièreD’autres noircis par des nuagesIl y aura des jours de doutes, d’injustices, de remise en questionDes jours gris et vainsIl y aura des jours de pleurs et de cris inouïsOù la nuit attendra le jour et le jour attendra la nuitDes jours où tes larmesQui parlent beaucoup plus que ta bouche Raconteront un mythe de la douleurDes jours où tu vas...

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