
Riad Salamé, le gouverneur de la Banque du Liban. Photo AFP
La prudence est de mise pour les milieux économiques du pays à la suite du mandat d’arrêt international émis mardi à l’encontre du gouverneur de la Banque du Liban.
OLJ / Par SERVICE ÉCONOMIQUE, le 17 mai 2023 à 19h47
Riad Salamé, le gouverneur de la Banque du Liban. Photo AFP
Il y a là un nombre très élevé de personnes qui risquent de se retrouver bientôt sur la liste des criminels que la Justice est en train de dévoiler peu à peu , que tous ceux qui y ont mis leur petit doigt sont en train de trembler d'avance !
Ils sont tous hyper pressés de ne rien faire, une habitude politique libanaise :(( On laisse pourrir les choses, c'est courageux !
Le premier coupable est l’Etat, donneur d’ordre et complice de la faillite du pays.
La justice libanaise et la mafia défendront Salamé sur des questions de procedures jusqu’à épuisement des juges européens.
Au Liban, on est immunisé contre les crises. Pas besoin de s'affoler, tout se règle en douceur. Ou bien, les instances internationales concernées ne réagissent pas à ces histoires françaises, surtout que les États-Unis qui connaissent bien ce qui est réel n'ont pas joint Salamé au club des corrompus..., alors, le gouverneur termine sa fonction à terme, ou bien le cas échéant, Salamé est remplacé par un nouveau gouverneur maronite.
Il y a là un nombre très élevé de personnes qui risquent de se retrouver bientôt sur la liste des criminels que la Justice est en train de dévoiler peu à peu , que tous ceux qui y ont mis leur petit doigt sont en train de trembler d'avance !
14 h 23, le 18 mai 2023