Le Parlement libanais réuni en séance électorale, le 15 décembre 2022. Ali Fawaz/Parlement libanais
Comme entre 2007 et 2008, puis entre 2014 et 2016, quelques partis politiques sabotent ou boycottent les séances parlementaires dédiées à l’élection d’un chef de l’État mettant en avant les contraintes de la démocratie consociative et la...
Comme entre 2007 et 2008, puis entre 2014 et 2016, quelques partis politiques sabotent ou boycottent les séances parlementaires dédiées à l’élection d’un chef de l’État mettant en avant les contraintes de la démocratie consociative et la...
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commentaires (7)
Heureusement qu’au Liban les candidats n’ont pas besoin de l’accord du parlement pour se présenter. Vous imaginer Berry exerçant de plein droit sa censure en toute légalité? Oui parce que depuis 30 ans qu’il est là il exerce déjà son veto pour que la constitution ne soit jamais appliquée et personne ne trouve à redire alors que serait une campagne présidentielle avec son accord en amont? Une dictature pure et simple légitimée par décret. En d’autres termes le rêve absolu pour tous ces vendus qui monopolisent le pouvoir.
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Heureusement qu’au Liban les candidats n’ont pas besoin de l’accord du parlement pour se présenter. Vous imaginer Berry exerçant de plein droit sa censure en toute légalité? Oui parce que depuis 30 ans qu’il est là il exerce déjà son veto pour que la constitution ne soit jamais appliquée et personne ne trouve à redire alors que serait une campagne présidentielle avec son accord en amont? Une dictature pure et simple légitimée par décret. En d’autres termes le rêve absolu pour tous ces vendus qui monopolisent le pouvoir.
Sissi zayyat
17 h 41, le 05 février 2023
Si les textes de loi étaient appliqués au Liban, aucun déposant n'aurait perdu ses fonds et la plupart des leaders politiques et des banquiers se trouverait derrière les barreaux! Les textes existent mais les juges ont peur de les faire appliquer ou bien sont payés pour faire obstacle à leur application!
Georges Airut
02 h 18, le 05 février 2023
Le problème n'est pas dans le texte de la Constitution. Il réside uniquement dans la mauvaise foi de certains leaders et du Président du Parlement qui veulent sciemment bloquer le processus de l'élection tant que le candidat qu'ils appuient n'a pas reçu le nombre de voix qu'ils estiment nécessaire! Tant que cette volonté de blocage subsiste et reste impunie, toutes les modifications de texte ne pourront rien y faire!
Georges Airut
02 h 14, le 05 février 2023
Tristes sirs que ces deputes qui gesticulent pour la facade et qui n'osent pas tenir leurs engagements !!!!
RAYMOND SAIDAH
18 h 33, le 04 février 2023
Aucune plainte n'a été portée auprès de la cour constitutionnelle. Aucune. Les journalistes écrivent des articles, les députés gesticulent devant les médias,mais personne n'a porté plainte. Est-ce que cela veut dire qu'en réalité tout le monde accepte le jeu et que la contestation n'est qu'une contestation de façade ?
K1000
10 h 51, le 04 février 2023
"il demeure nécessaire de revenir à une pratique politique conforme aux dispositions de la Constitution et de la loi" ... et c'est tout! Nul besoin de réformer la Constitution: il suffit de la respecter, et, comme je le répète incessamment: en 24h maximum, nous aurions un président.
Yves Prevost
07 h 14, le 04 février 2023
A quoi bon discuter de réformes constitutionnelles quand la constitution existante est si allègrement violée?
commentaires (7)
Heureusement qu’au Liban les candidats n’ont pas besoin de l’accord du parlement pour se présenter. Vous imaginer Berry exerçant de plein droit sa censure en toute légalité? Oui parce que depuis 30 ans qu’il est là il exerce déjà son veto pour que la constitution ne soit jamais appliquée et personne ne trouve à redire alors que serait une campagne présidentielle avec son accord en amont? Une dictature pure et simple légitimée par décret. En d’autres termes le rêve absolu pour tous ces vendus qui monopolisent le pouvoir.
Sissi zayyat
17 h 41, le 05 février 2023