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Nos Lecteurs ont la Parole

De la fiction à la réalité ?

« Ce que je veux dire, c’est que la crise climatique n’est pas l’unique problème. Il s’agit seulement d’un symptôme, d’une crise plus importante, comme la perte de la biodiversité, l’acidification des océans, la baisse de la fertilité des sols, etc. Et ce n’est pas en arrêtant d’émettre des gaz à effet de serre que ces problèmes se résoudront. La Terre est un système très complexe. Si l’un de ses rouages se grippe ou s’emballe, cela aura une incidence sur des éléments qui échappent à notre compréhension. Il en va de même pour l’égalité. Les hommes font partie de la nature : lorsque nous allons mal, la nature ne va pas bien, car nous sommes la nature. » D’Oliver Whang, extrait de l’entretien exclusif avec Greta Thunberg | National Geographic, 30 octobre 2020.

Voici quelques extraits du prochain livre de Siham, intitulé Décembre 2125. Elle écrit pour transmettre un profond désarroi vis-à-vis d’un temps précieux. Il est dilapidé au bénéfice des profiteurs et de la vieillesse mentale prématurée des gens. Siham s’exprime à travers Motus, un personnage du monde fictif. Là où les terribles négligences et les cumuls seront pris en charge. Une population va s’accomplir sans plus attendre. Voici un extrait : « Des nouvelles sont énoncées par Motus sur Mars. Cet éminent robot humanoïde transmet, durant la saison de Noël, le tournant exceptionnel des habitants de la planète Terre. » Il dit : « L’événement inespéré depuis plus d’un centenaire est l’élection d’êtres proprement humains. Au pays du Cèdre, les habitants de ce coin de la Méditerranée ont enfin choisi de prendre distance des dépendances contextuelles. Ils vont soigner une dignité longtemps suspendue aux desiderata d’illustres parleurs. À travers le labeur salutaire, un nombre croissant de Libanais s’engagent à assurer le nécessaire vital de leurs moyens. Du littoral aux plaines, des majestueuses montagnes aux points culminants, les soins agricoles et les bonnes formes, physique et mentale, vont être cultivés. Cette terre biblique les accueille. Elle demeure riche de ses saints et des parcours lumineux. Pour maintenir l’harmonie environnementale face à un réchauffement climatique désastreux, le Libanais ne cherche enfin qu’à préserver les éléments créés par Dieu. L’avenir est plus que jamais dépendant de ses engagements assidus au présent. En un espace encore vert, la gesticulation verbale et les promesses n’ont plus d’adhérents. Depuis que l’extrême misère humaine a dévoilé les aberrances de tant de “représentants”, il reste au citoyen de suivre la portée de l’agriculteur, du forestier, du fermier et des animaux. Eux veillent sur l’arbre, écoutent le vent et boivent aux sources. Désormais, ils vont suivre la volonté du Seigneur. Sa lumière suffit pour éclairer la nature humaine. »

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique Courrier n’engagent que leurs auteurs. Dans cet espace, L’Orient-Le Jour offre à ses lecteurs l’opportunité d’exprimer leurs idées, leurs commentaires et leurs réflexions sur divers sujets, à condition que les propos ne soient ni diffamatoires ni injurieux ni racistes.

« Ce que je veux dire, c’est que la crise climatique n’est pas l’unique problème. Il s’agit seulement d’un symptôme, d’une crise plus importante, comme la perte de la biodiversité, l’acidification des océans, la baisse de la fertilité des sols, etc. Et ce n’est pas en arrêtant d’émettre des gaz à effet de serre que ces problèmes se résoudront. La Terre est un...
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