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De l’invasion russe de l’Ukraine aux nouvelles sanctions occidentales : Retrouvez, ici, notre couverture en direct

Ce qu’il faut retenir

Des combats meurtriers entre Russes et Ukrainiens se sont déroulés jeudi jusqu'aux portes de Kiev, à la suite du déclenchement par l'armée de Vladimir Poutine d'une attaque aérienne et terrestre massive.

La centrale nucléaire de Tchernobyl a été prise par les forces russes.

Pour éviter une extension de ce conflit à d'"autres pays européens", les forces militaires des Etats de l'Otan ont été placées en état d'alerte.

Les Etats-Unis et l'Union européenne ont répliqué par de nouvelles sanctions contre la Russie.


22:56 heure de Beyrouth

Nous interrompons, pour quelques heures, cette couverture en direct de l'invasion russe de l'Ukraine. Merci de nous avoir suivis.

22:46 heure de Beyrouth

Les Vingt-Sept ont approuvé jeudi un nouveau train de sanctions contre la Russie, en réponse à son invasion de l'Ukraine, ciblant les secteurs de la finance, de l'énergie et des transports, qui auront des "conséquences massives et sérieuses", selon leur déclaration. Approuvées au début de leur sommet à Bruxelles, "en coordination étroite avec les partenaires et alliés" de l'UE, ces mesures couvriront également les biens à usage double (à la fois civil et militaire) et la délivrance de visas, tandis que le Belarus, accusé d'être impliqué dans les opérations russes, sera frappé de sanctions supplémentaires, selon la déclaration.

22:45 heure de Beyrouth

Blé et tournesol, ou titane, aluminium et nickel : la Russie et l'Ukraine jouent un rôle clé dans l'approvisionnement mondial en matières premières stratégiques, à usage industriel ou alimentaire. Le Liban, par exemple, "dépend à 50% pour son alimentation du blé russe et ukrainien"... Plus de détails ici

22:31 heure de Beyrouth

"Nous pensons qu'environ 100.000 personnes ont dû déjà avoir quitté leur domicile (en Ukraine) et pourraient être déplacées à l'intérieur du pays, et que plusieurs milliers de personnes ont franchi les frontières internationales", a déclaré à l'AFP une porte-parole du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), Shabia Mantoo.

22:21 heure de Beyrouth

Le président iranien Ebrahim Raïssi a considéré jeudi que l'expansion de l'Otan était une "menace grave", lors d'un appel téléphonique avec son homologue russe Vladimir Poutine. "L'expansion de l'Otan est une menace grave pour la stabilité et la sécurité de pays indépendants dans différentes régions", a déclaré M. Raïssi, cité par un communiqué de la présidence iranienne. Plus tôt dans la journée, le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian avait estimé que "la crise ukrainienne trouvait ses racines dans les provocations de l'Otan".

Le chef de la diplomatie iranienne avait également affirmé que "la guerre n'était pas une solution" et avait appelé à un "cessez-le-feu" pour "trouver une solution démocratique et politique".


22:18 heure de Beyrouth

Les sanctions économiques et financières US, dans le détail :

Joe Biden a défendu jeudi un arsenal de sanctions mises au point par les Etats-Unis et leurs alliés, "dépassent tout ce qui a jamais été fait". Avec ces sanctions, il s'agit de tarir à court terme les flux de financement de la Russie et de compromettre à long terme son développement technologique et militaire, tout en bousculant les richissimes oligarques russes.

-Les dix plus grandes institutions financières russes se retrouvent visées par les sanctions occidentales, ce qui compromet leur accès aux marchés financiers internationaux et aux transactions en dollars.

-Les Etats-Unis s'en prennent en particulier aux deux plus grandes banques de Russie, Sberbank et VTB Bank, jusqu'ici épargnées.

-Joe Biden a annoncé par ailleurs que plusieurs grandes entreprises russes - 13 au total - ne pourraient plus désormais se financer sur le marché financier américain, une sanction qui avait déjà été prise contre le gouvernement russe lui-même.

-Les Etats-Unis ont aussi rallongé la liste des oligarques russes sanctionnés, une manière de taper au portefeuille les grandes fortunes proches de Vladimir Poutine.

-Enfin, Washington et ses alliés entendent restreindre de manière drastique les importations de produits technologiques par la Russie, au moment même où celle-ci, très dépendante de ses exportations d'hydrocarbures, cherche à diversifier son économie. "Plus de la moitié" des importations technologiques russes seront bloquées, a promis Joe Biden, ce qui doit selon la Maison Blanche compliquer également le développement militaire de la Russie.

En ce qui concerne l’option de couper la Russie du réseau interbancaire Swift, un rouage essentiel de la finance mondiale, il a indiqué que ceci restait "une option". Mais il a reconnu qu'une telle décision, réclamée par l'Ukraine, n'était pas soutenue par les Européens.

(Photo : Joe BIden à la Maison Blanche. Brendan Smialowski / AFP)

21:57 heure de Beyrouth

L'OTAN est aussi une "alliance nucléaire", a averti le ministre français des Affaires étrangères, alors que la Russie agite la menace nucléaire en cas d'entrave à son offensive en Ukraine.

"L'Alliance atlantique est aussi une alliance nucléaire", a rappelé M. Le Drian sur la chaîne TF1, qualifiant le président russe Vladimir Poutine de "dictateur" et promettant des sanctions occidentales qui vont "taper au cœur" la Russie.


21:50 heure de Beyrouth

Un avion de transport militaire s'est écrasé dans l'ouest de la Russie près de la frontière ukrainienne, a rapporté le ministère de la Défense, ajoutant que son équipage, dont il n'a pas précisé le nombre, avait été tué.

Le crash, qui s'est produit dans la région de Voronej et a été confirmé à l'AFP par un porte-parole du ministère, a été causé par un problème technique, ont indiqué les autorités locales citées par les agences de presse russes.

21:04 heure de Beyrouth

Le président américain, Joe Biden, a déclaré que la Russie avait lancé contre l'Ukraine une attaque préméditée et injustifiée qui constitue "une violation fragrante du droit international" et annoncé de nouvelles sanctions contre des entreprises et des personnalités russes. 

Il a indiqué qu'il défendra "le moindre pouce de territoire de l'OTAN "mais n'enverra pas de troupes en Ukraine. "Nos forces armées ne vont pas en Europe pour combattre en Ukraine mais pour défendre nos alliés de l'OTAN et rassurer ces alliés de l'Est", a-t-il affirmé lors d'une allocution télévisée. Un responsable du Pentagone a ainsi annoncé que les Etats-unis vont envoyer 7000 soldats en Allemagne pour rassurer les alliés de l'Otan.

Le président a par ailleurs annoncé que plus de la moitié des importations technologiques de la Russie seront supprimées. Quatre banques russes supplémentaires vont être sanctionnées, a-t-il ajouté. "Cela imposera un coût sévère à l'économie russe, à la fois immédiatement et à long terme", a prévenu le dirigeant américain.

Ce dernier a également affirmé que couper la Russie du réseau bancaire Swift reste "une option". Il a toutefois souligné qu'"actuellement cela n'était pas (une) position" partagée par les Européens, et assuré que les autres sanctions financières annoncées jeudi par les Etats-Unis et leurs alliés avaient "autant d'impact voire plus d'impact" que cette option, réclamée par l'Ukraine elle-même.

M. Biden a assuré que Vladimir Poutine va devenir "un paria sur la scène internationale".  Le président américain a dit "ne pas prévoir de parler avec M. Poutine", précisant que l'option de sanctions contre le président russe reste sur la table. Biden a enfin promis de puiser dans les réserves stratégiques de pétrole pour tempérer la hausse des carburants.

20:21 heure de Beyrouth

Le Conseil de l'Europe "envisage" de nouvelles sanctions contre la Russie. 

20:19 heure de Beyrouth

Le ministère libanais des Affaires étrangères a condamné "l'invasion des terres ukrainiennes" et "appelé la Russie à arrêter ses opérations militaires sur-le-champ, à retirer ses forces et à recourir au dialogue et aux négociations en tant que moyen idéal pour résoudre le conflit en cours, de sorte à préserver la souveraineté, la sécurité et les inquiétudes des deux parties, et à épargner aux populations des deux pays et de l'Europe les tragédies des guerres". 

(Des Ukrainiens au Liban manifestant contre l'invasion russe de leur pays, le 24 février 2022. Photo JOSEPH EID / AFP)

19:59 heure de Beyrouth

La Russie a pris le contrôle de la centrale de Tchernobyl, site du pire accident nucléaire de l'histoire en 1986, a annoncé la présidence ukrainienne.

"Après des combats acharnés, nous avons perdu le contrôle du site de Tchernobyl", a déclaré Mikhaïlo Podoliak, un conseiller de la présidence. Après la perte du contrôle de cette zone hautement contaminée, "l'état des installations" de la centrale, de la chape étanche isolant son réacteur accidenté et d'un dépôt pour le combustible nucléaire "est inconnu" et "il est impossible de dire si la centrale est en sécurité", a ajouté le responsable. "C'est une des menaces les plus graves pour l'Europe", a-t-il ajouté en estimant que les Russes pourraient organiser des "provocations" sur ce site afin d'en rejeter la responsabilité sur l'Ukraine.

19:57 heure de Beyrouth

Le président américain Joe Biden a annoncé sur Twitter que les dirigeants du G7, lors de leur réunion virtuelle jeudi, s'étaient mis d'accord pour infliger des sanctions "dévastatrices" à la Russie, en réponse à l'invasion de l'Ukraine. "Nous sommes aux côtés du courageux peuple ukrainien", a encore déclaré Joe Biden, qui doit s'adresser à 18h30 GMT aux Américains.

19:48 heure de Beyrouth

Boris Johnson a annoncé jeudi que les banques russes seraient exclues du système financier britannique dans le cadre de nouvelles sanctions infligées à Moscou en réponse à l'invasion de l'Ukraine. Les banques russes, a expliqué le Premier ministre britannique devant la Chambre des communes, n'auront plus accès aux transactions sur la livre sterling, ni aux opérations de compensation. L'Etat russe ainsi que les entreprises privées ne pourront plus lever de fonds au Royaume-Uni, il sera interdit de leur accorder des prêts ou d'effectuer des transactions sur leurs titres, a ajouté Boris Johnson. "Nous limiterons le montant d'argent que les ressortissants russes seront en mesure de déposer dans les comptes en banque au Royaume-Uni", a-t-il poursuivi.

Boris Johnson a ajouté que les sanctions britanniques viseraient plus de 100 nouveaux individus ou entités russes. "Cela comprend tous les grands groupes qui soutiennent la machine de guerre de (Vladimir) Poutine. En outre, nous interdisons (la compagnie) Aeroflot au Royaume-Uni", a déclaré le chef du gouvernement.

19:34 heure de Beyrouth

Près de 800 personnes ont été arrêtées par la police russe à l'occasion de manifestations contre la guerre en Ukraine dans plusieurs villes du pays, a rapporté l'ONG spécialisée OVD-Info.

Selon cette organisation, au moins 788 personnes ont été interpellées dans 42 villes, dont près de la moitié à Moscou, où l'AFP a assisté à des dizaines d'arrestations sur la place Pouchkine, dans le centre.

19:33 heure de Beyrouth

La Russie a affirmé qu'elle avait rempli "avec succès" tous les objectifs fixés au premier jour de son invasion de l'Ukraine. "Toutes les tâches assignées aux groupes de militaires des forces armées de la Fédération de Russie pour la journée ont été remplies avec succès", a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense, Igor Konachenkov.


19:21 heure de Beyrouth

Le Royaume-Uni a imposé une nouvelle série de sanctions contre la Russie, interdisant la compagnie aérienne Aeroflot et ciblant le secteur bancaire, les exportations de technologies et cinq hommes d'affaires.

"Poutine (...) ne pourra jamais se laver les mains du sang de l'Ukraine", a déclaré le Premier ministre Boris Johnson en annonçant "le paquet de sanctions économiques le plus important et le plus sévère que la Russie ait jamais vu".

19:18 heure de Beyrouth

Le chancelier allemand Olaf Scholz a mis en garde contre une tentative de Vladimir Poutine de "rayer" l'Ukraine "de la carte" en attaquant militairement le pays.

"C'est une tentative de déplacer par la violence les frontières en Europe, voire peut-être de rayer un pays entier de la carte mondiale", a-t-il déclaré dans une allocution télévisée. "Nous vivons le début d'une guerre comme il n'y en a pas eu depuis plus de 75 ans en Europe", a-t-il ajouté.


19:00 heure de Beyrouth

"Treize civils dont deux enfants ont été tués et neuf soldats ukrainiens ont trouvé la mort dans l'attaque contre la région de Kherson", dans le sud de l'Ukraine, a annoncé l'administration régionale. La ville de Guenitchesk est sous contrôle russe, selon la même source.


18:55 heure de Beyrouth

La Russie ne veut pas porter atteinte au système économique mondial, ni en être exclue, a déclaré Vladimir Poutine.

"La Russie continue de prendre part à l'économie mondiale, nous ne nous apprêtons pas à lui porter atteinte. Il me semble que nos partenaires doivent comprendre et ne pas se fixer pour objectif de nous pousser en dehors du système", a-t-il souligné.


18:44 heure de Beyrouth

La Russie n'avait "pas d'autre moyen" pour se défendre que de lancer ses forces en Ukraine, a affirmé le président Vladimir Poutine. "Ce qui se déroule actuellement relève de mesures contraintes car on ne nous a laissé aucun autre moyen de procéder autrement", a-t-il déclaré, lors d'une réunion télévisée avec des hommes d'affaires à Moscou.


18:31 heure de Beyrouth

L'offensive russe en Ukraine vise à "décapiter" le gouvernement à Kiev et installer à la place un régime favorable à Moscou, a affirmé un responsable militaire américain.

"Fondamentalement, ils ont l'intention de décapiter le gouvernement et d'installer leur propre gouvernance", a-t-il déclaré, sous couvert d'anonymat. La phase initiale se concentre d'après lui sur des villes clés et le Pentagone s'attend à ce que les Russes attaquent la capitale Kiev. "Nous n'avons jamais vu une manœuvre de ce genre, d'Etat nation à Etat nation depuis la Seconde Guerre mondiale, certainement rien de cette ampleur, portée et échelle", a-t-il affirmé.

18:20 heure de Beyrouth

La présidence de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a dénoncé "un crime contre l'humanité".

"Nous condamnons dans les termes les plus forts cet acte d'agression", a déclaré dans une vidéo publiée sur Twitter le ministre polonais des Affaires étrangères Zbigniew Rau, qui occupe la présidence tournante de cette organisation disposant d'observateurs internationaux sur place. "Evoquer l'article 51 de la charte des Nations Unies pour justifier ce crime contre l'humanité est déplorable et honteux. Nous attendons de la partie russe qu'elle honore ses obligations et engagements internationaux", a-t-il ajouté. Cet article reconnaît "le droit de légitime défense dans le cas d'une agression armée, jusqu'à ce que le Conseil de sécurité ait pris les mesures nécessaires pour maintenir la paix et la sécurité internationales".

18:15 heure de Beyrouth

"Ma famille pensait que j'hallucinais. Mais moi je savais, je sais reconnaître une explosion", dit Rami, un Libanais à Odessa. Un témoignage à lire ici

18:12 heure de Beyrouth

L'invasion russe de l'Ukraine constitue "une menace sérieuse pour l'ordre international", déplore le G7 dans un communiqué. 

18:11 heure de Beyrouth

Le président ukrainien demande d'exclure la Russie du système de messagerie interbancaire mondial Swift.  

18:07 heure de Beyrouth

Des responsables libanais ont réagi à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Lire ici.

(Des Ukrainiens résidant au Liban manifestant contre l'invasion russe de l'Ukraine, le 24 février 2022. Photo REUTERS/Mohamed Azakir)

17:58 heure de Beyrouth

Les Russes ont conquis un aéroport militaire situé à une quarantaine de kilomètres de Kiev, la capitale de l'Ukraine, a reconnu le président ukrainien Volodymyr Zelensky en promettant de le reprendre.

Selon M. Zelensky, qui s'exprimait dans un discours vidéo, l'aéroport a été pris par les forces russes mais le débarquement de parachutistes à Gostomel, où il est situé, a été "bloqué" et les forces ukrainiennes ont "reçu l'ordre de les détruire".


17:53 heure de Beyrouth

Un nouveau "rideau de fer" sépare la Russie du monde civilisé, affirme le président ukrainien. 

17:47 heure de Beyrouth

L'invasion de l'Ukraine par la Russie ajoute "un important risque économique pour la région et le monde", ce qui risque de peser sur la reprise économique, a alerté la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva.

"Je suis très préoccupée par ce qui se passe en Ukraine et, avant tout, par les conséquences pour des gens innocents. Cela ajoute un important risque économique pour la région et le monde. Nous évaluons les implications et nous nous tenons prêts à soutenir nos membres au besoin", a-t-elle affirmé dans un tweet.

17:39 heure de Beyrouth

La Russie a promis une réplique "sévère" aux sanctions européennes devant être prises à son encontre, assurant que celles-ci "n'empêcheront pas" l'assistance de Moscou aux séparatistes dans la guerre contre l'Ukraine.

"Conformément au principe de réciprocité, qui est à la base du droit international, nous prendrons des mesures de rétorsion sévères", a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

17:25 heure de Beyrouth

Le maire de Kiev Vitaly Klitschko a annoncé l'imposition d'un couvre-feu afin de préserver "la sécurité" des habitants.

"Le couvre-feu durera de 22h00 à 07h00", a-t-il indiqué dans un communiqué, précisant que les transports publics ne fonctionneraient pas pendant cette période mais que les stations de métro allaient rester ouvertes en permanence pour servir d'abris en cas de frappes.


17:12 heure de Beyrouth

Les murs de la maison de Mark Tohmé, un vétérinaire libanais qui vit à Kiev, ont commencé à trembler à 5h10 ce jeudi matin. C’est à cette heure-là qu’il a entendu les premières attaques. L'armée russe venait, suite à une allocution de Vladimir Poutine, d'entamer son offensive contre l'Ukraine.

"Au Liban, j’ai vécu la guerre, je savais donc quoi faire. Je me suis directement réfugié dans ma chambre et j’ai commencé à prendre des nouvelles de mes proches ici", raconte le jeune homme, qui a quitté Beyrouth pour l’Ukraine en 2007. Pour lui, la situation est comparable à la guerre de juillet 2006 au Liban, qui avait opposé pendant 33 jours le Hezbollah à Israël, "mais là, ce sont deux grandes nations qui s’affrontent. Ce sera bien pire", confie-t-il par téléphone à notre journaliste Lyana Alameddine. Lire la suite du témoignage ici. 

(Des militaires ukrainiens bloquant une route dans le quartier gouvernemental de Kiev, le 24 février 2022. Photo Sergei SUPINSKY / AFP)

16:56 heure de Beyrouth

Les Libanais se trouvant en Ukraine et souhaitant quitter le pays après l'invasion militaire russe déclenchée jeudi matin, sont appelés à remplir un formulaire en ligne à cette adresse, a annoncé le ministère libanais des Affaires étrangères. Celui-ci a également appelé ses ressortissants "à rester en lieu sûr".

(Photo : Capture d'écran/mfa.gov.lb)

16:54 heure de Beyrouth

Des combats sont en cours près du dépôt des déchets nucléaires de la centrale de Tchernobyl où les forces russes ont pénétré depuis le Bélarus, a annoncé jeudi le conseiller du ministère de l'Intérieur Anton Guerachtchenko.

"Les troupes des occupants sont entrées depuis le Bélarus dans la zone de la centrale de Tchernobyl. Les membres de la Garde nationale qui protègent le dépôt opposent une résistance obstinée", a-t-il écrit sur Telegram.


16:45 heure de Beyrouth

Le Vatican a estimé que des négociations étaient encore possibles pour trouver une solution pacifique au conflit russo-ukrainien.

"Les scénarios tragiques que tout le monde craignait deviennent malheureusement la réalité. Mais il y a encore du temps pour de la bonne volonté, il y a encore de l'espace pour des négociations", a déclaré Pietro Parolin, cardinal-secrétaire d'Etat et n°2 du Vatican, derrière le pape François, cité dans un communiqué. "Il y a encore de la place pour l'exercice d'une sagesse qui (...) protège les aspirations légitimes de tous et épargne le monde de la folie et des horreurs d'une guerre", a-t-il ajouté.

16:25 heure de Beyrouth

Le prix du bidon d'essence au Liban pourrait atteindre dans un avenir proche les 400.000 LL à la suite du début de l'opération militaire russe en Ukraine, a prévenu le porte-parole des propriétaires de stations-services Georges Brax. (Un homme faisant le plein de sa voiture. Photo d'illustration ANI)

16:22 heure de Beyrouth

Point marchés : Il n'existe pas de solution immédiate pour remplacer sur le marché du gaz européen les importations venues de Russie, si celles-ci devaient cesser du fait du contexte russo-ukrainien, a averti jeudi le géant français de l'énergie TotalEnergies. "Si le gaz russe ne vient pas en Europe, on a un vrai sujet de prix du gaz en Europe", a dit le président du groupe, Patrick Pouyannée, s'exprimant à Paris devant le forum de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP). La hausse des prix du gaz entamée l'an dernier et encore constatée aujourd'hui était "conjoncturelle", liée à une forte demande venue de Chine, a-t-il expliqué. "Là, par contre, la situation est plus inquiétante, parce que le gaz russe aujourd'hui c'est 40% du marché européen du gaz", a-t-il dit.

16:18 heure de Beyrouth

Point marchés : le prix de l'aluminium a atteint jeudi matin un nouveau record historique, à 3.382,50 dollars la tonne, quelques heures après l'annonce par le président russe d'une "opération militaire" en Ukraine. Le nouveau plus haut historique a été atteint un peu avant 6H00 GMT sur le marché londonien des métaux de base (London Metal Exchange, LME), dépassant un précédent record à 3.380,15 dollars la tonne atteint le 11 juillet 2008, avant de redescendre légèrement à 3.372,50 dollars avant 7H30 GMT.
"La hausse du prix de l'aluminium était prévisible une fois que la Russie a attaqué l'Ukraine", a déclaré à l'AFP Daniel Briesemann, analyste de la Commerzbank. "Les acteurs du marché craignent clairement que l'approvisionnement en aluminium de la Russie ne soit affecté en cas de sanctions sévères de l'Occident et - probablement - de mesures de représailles de la part de la Russie." "En cas de nouvelle escalade de la situation, nous pensons que les prix peuvent encore augmenter", a-t-il ajouté.

16:09 heure de Beyrouth

L'armée ukrainienne a annoncé que des combats étaient en cours pour le contrôle d'un aéroport militaire de Gostomel, près de Kiev.

"Des combats sont en cours pour l'aéroport de Gostomel" situé à quelques kilomètres au nord-ouest de Kiev, a annoncé le chef des armées ukrainiennes Valery Zaloujny. Des images sur les réseaux sociaux montrent qu'il a fait l'objet semble-t-il d'une attaque par de nombreux hélicoptères. La situation est également "tendue" dans le sud du pays où des combats sont menés pour les villes de Guenitchesk, Skadovsk et Chaplynka, dans la région de Kherson, près de la Crimée, a-t-il ajouté.


16:02 heure de Beyrouth

L'armée russe a affirmé avoir détruit 74 installations militaires, dont 11 aérodromes, en Ukraine.

"À la suite des frappes des forces armées russes, 74 installations terrestres de l'infrastructure militaire ukrainienne ont été mises hors service. Cela comprend 11 aérodromes de l'armée de l'air", a annoncé à la télévision le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général Igor Konachenkov.


15:17 heure de Beyrouth

C’est au son des sirènes à 5h du matin, informant d’une attaque, que Karim, étudiant libanais à Lviv, dans l'ouest de l’Ukraine, s’est réveillé en sursaut jeudi matin. L’armée russe venait de lancer l’offensive contre l’Ukraine.

Sans même hésiter, le jeune homme a rassemblé quelques affaires et pris la route de l’aéroport, pour quitter l’Ukraine. « Le problème, c’est que les frontières aériennes sont fermées », explique-t-il dans un témoignage livré par téléphone à notre journaliste Lyana Alameddine. Désormais, ce Libanais envisage de sortir, par voie terrestre, vers la Pologne. Lire la suite du témoignage ici.

(Devant les stations essence à Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine, de longues files d'attente ce jeudi 24 février 2022. Photo Yuriy Dyachyshyn / AFP)

15:13 heure de Beyrouth

Emmanuel Macron a promis que la France et ses alliés décideront de sanctions contre la Russie "à la hauteur de l'agression dont elle se rend coupable" et qui porteront sur "le plan militaire et économique autant que dans le domaine de l'énergie", lors d'une allocution enregistrée à l'Elysée.

"Nous serons sans faiblesse" lors des décisions qui seront prises lors du G7 et du Conseil européen jeudi soir, a ajouté le président, avertissant les Français que cet "acte de guerre" aura "des conséquences profondes, durables sur nos vies et la géopolitique de notre continent".

15:09 heure de Beyrouth

Le Premier ministre italien Mario Draghi a qualifié l'attaque de Moscou contre l'Ukraine d'"injustifiée et injustifiable", demandant au président Vladimir Poutine un retrait des forces russes "sans conditions".

"Le gouvernement italien condamne l'attaque de la Russie contre l'Ukraine. Elle est injustifiée et injustifiable. L'Italie se tient auprès du peuple et des institutions ukrainiennes en ce moment dramatique. Nous travaillons avec les alliés européens et de l'Otan pour répondre immédiatement, avec unité et détermination", a déclaré M. Draghi dans un communiqué.

14:34 heure de Beyrouth

Un avion militaire ukrainien s'est écrasé jeudi près de Kiev avec 14 personnes à bord, a annoncé le service d'Etat pour les situations d'urgence. L'appareil est tombé près du village de Trypillia, à une cinquantaine de kilomètres au sud de la capitale ukrainienne, selon la même source.

14:23 heure de Beyrouth

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a averti que les Occidentaux imposeraient des sanctions "massives" visant l'économie russe, qualifiant Vladimir Poutine de "dictateur".

"Diplomatiquement, politiquement, économiquement, et en fin de compte militairement, cette entreprise atroce et barbare de Vladimir Poutine doit se solder par un échec", a déclaré le chef du gouvernement britannique dans une adresse télévisée aux Britanniques.

14:15 heure de Beyrouth

La guerre n'est pas "une solution", a plaidé le ministre iranien des Affaires étrangères, imputant une nouvelle fois le conflit entre la Russie et l'Ukraine aux "provocations" de l'OTAN.

"Nous ne considérons pas la guerre comme une solution", a affirmé sur Twitter le chef de la diplomatie iranienne Hossein Amir-Abdollahian, ajoutant qu'il était "impératif d'établir un cessez-le-feu" entre la Russie et l'Ukraine et de "trouver une solution démocratique et politique".

14:12 heure de Beyrouth

Le Canada a dénoncé dans la nuit de mercredi à jeudi les "actes révoltants" de la Russie en Ukraine, assurant qu'ils "ne resteront pas impunis", a fait savoir le Premier ministre canadien Justin Trudeau dans un communiqué.

"Le Canada condamne dans les termes les plus fermes qui soient l'attaque injustifiable de la Russie contre l'Ukraine", note M. Trudeau, invoquant une "violation flagrante de la souveraineté et de l'intégrité territoriale" de Kiev. Le Premier ministre canadien "exhorte la Russie à mettre fin immédiatement à toute action hostile et provocatrice contre l'Ukraine", à retirer ses troupes du pays et à respecter "la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine." 

13:56 heure de Beyrouth

Des forces russes ont pénétré dans la région de Kiev depuis le Bélarus pour mener une attaque avec des missiles Grad sur des cibles militaires, ont annoncé jeudi les garde-frontières ukrainiens dans un communiqué. Une journaliste de l'AFP a constaté la présence de plusieurs hélicoptères non identifiés volant en groupe à basse altitude dans la banlieue de Kiev, la capitale ukrainienne.

13:44 heure de Beyrouth

« Nous pensions tous que l’Ukraine était un pays sûr, celui de la joie et de la culture. Nous sommes sous le choc ». C’est en ces termes que Walid Khodr, un jeune Libanais établi à Poltava, dans le centre de l’Ukraine, depuis 2013 pour poursuivre ses études, explique ce qu’il ressent depuis ce jeudi matin et le lancement de l’offensive militaire russe. Dans le cadre de cette opération militaire, l’aéroport de la ville a été attaqué, dit-il. « Ça s’est passé à 8h du matin pendant que je dormais, mes amis ont entendu les frappes mais pas moi ». Lire la suite du témoignage en cliquant ici

13:42 heure de Beyrouth

Dix-huit personnes ont été tuées par des "frappes militaires" dans un village de la région d'Odessa dans le sud de l'Ukraine, ont annoncé les autorités régionales. "Huit hommes et dix femmes ont été tués" dans le village de Lipetske, a indiqué dans un communiqué l'administration régionale d'Odessa.

13:27 heure de Beyrouth

Des dizaines de citoyens ukrainiens au Liban ont manifesté devant le siège de l'ambassade de Russie à Beyrouth, contre l'"opération militaire" de Moscou en Ukraine. (Photo Mohamed El Chamaa/L'Orient Today)

13:21 heure de Beyrouth

La Turquie a appelé la Russie à cesser son intervention en Ukraine "injuste et illégale au plus vite", jugeant qu'elle constitue "une menace contre la sécurité mondiale et régionale", selon le ministère des Affaires étrangères. "C'est une lourde violation du droit international", insiste le ministère dans un communiqué, rappelant que la Turquie "s'oppose à tout changement de frontière par les armes".

13:13 heure de Beyrouth

Le Kremlin a indiqué que l'opération militaire contre l'Ukraine durerait le temps nécessaire, en fonction de ses "résultats" et sa "pertinence", estimant que les Russes soutiendraient une telle offensive.

Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a aussi affirmé aux journalistes que Moscou avait pour objectif l'imposition d'un "statut neutre" à l'Ukraine, sa démilitarisation et l'élimination des "nazis" qui selon lui se trouvent dans le pays.

13:03 heure de Beyrouth

L'invasion russe de l'Ukraine "met en danger la vie d'innombrables innocents" et "remet en cause la paix" en Europe, a déploré Olaf Scholz. "Le président russe enfreint une fois de plus de manière flagrante le droit international", a dénoncé dans une déclaration à la presse le chancelier allemand, pour qui "rien ne peut justifier tout cela".

12:55 heure de Beyrouth

Les prix des céréales ont atteint jeudi matin des niveaux record en séance sur le marché européen, avec un pic totalement inédit pour le blé à 344 euros la tonne sur Euronext, ont indiqué des analystes et courtiers à l'AFP. Les cours du blé et du maïs, dont l'Ukraine est le quatrième exportateur mondial, se sont envolés dès l'ouverture, quelques heures après le début de l'invasion russe de l'Ukraine.

12:27 heure de Beyrouth

Les prix du pétrole s'enflammaient jeudi, l'attaque aérienne et terrestre de l'armée russe contre l'Ukraine propulsant le baril de WTI américain à plus de 100 dollars, une première depuis 2014.

Vers 10H20 GMT (11H20 à Paris), le baril de West Texas Intermediate (WTI) pour livraison en avril s'envolait de 8,59% à 100,01 dollars, et le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison le même mois prenait 8,76% à 105,28 dollars, également à un sommet depuis 2014.

12:20 heure de Beyrouth

Au moins 40 soldats et une dizaine de civils ont été tués jeudi aux premières heures de l'invasion russe de l'Ukraine, a annoncé à la presse un conseiller du président ukrainien Volodymyr Zelensky.

"Je sais que plus de 40 militaires ukrainiens ont été tués et plusieurs dizaines blessés et il est question d'une dizaine de civils tués", à travers le pays, a déclaré Oleksiy Arestovych. Ces pertes sont causées par des frappes aériennes et de missiles jeudi matin, a-t-il précisé.

12:05 heure de Beyrouth

Une femme tenant un crucifix prie sur la place de l'Indépendance à Kiev, le 24 février 2022, quelques heures après le début de l'offensive russe contre l'Ukraine. (Photo Daniel LEAL / AFP)

11:47 heure de Beyrouth

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé, dans une adresse à la nation, la rupture des liens diplomatiques avec Moscou.

"Nous avons rompu les liens diplomatiques avec la Russie", a-t-il déclaré alors que ces relations avaient été maintenues même après l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014.

11:30 heure de Beyrouth

Le bilan officiel des militaires ukrainiens tués jeudi lors de l'invasion russe a grimpé à cinq morts, a annoncé le ministère de l'Intérieur.

Un militaire de la défense anti-aérienne a été tué dans la région de Zaporijjia (sud) alors que quatre garde-frontières ont péri dans diverses localités de la région de Kherson (sud), a précisé le ministère. (Photo Aris Messinis / AFP)

11:28 heure de Beyrouth

Le principal opposant russe Alexeï Navalny, qui est incarcéré et fait face à de nouvelles accusations, a dit être "opposé" à la guerre lancée par Moscou contre l'Ukraine.

"Je suis contre cette guerre. Je pense que cette guerre entre la Russie et l'Ukraine est menée pour dissimuler le vol des citoyens russes et détourner leur attention des problèmes qui existent à l'intérieur du pays, de la dégradation de l'économie", a déclaré M. Navalny à l'audience d'un nouveau procès qui s'est ouvert contre lui la semaine dernière, selon une vidéo publiée par la chaîne d'opposition Dojd.

11:04 heure de Beyrouth

L'armée ukrainienne a affirmé avoir tué une cinquantaine "d'occupants russes" dans la région de Lougansk (est). "Le 24 février, près de 50 occupants russes ont été liquidés près de la localité de Chtchastia", dans l'est de l'Ukraine, a assuré l'état-major de l'armée ukrainienne dans un communiqué. Le terme "d'occupant russe" peut désigner tant les soldats russes que les combattants séparatistes prorusses de l'est de l'Ukraine.

11:03 heure de Beyrouth

La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a promis que Berlin et ses alliés allaient mettre en œuvre "les sanctions les plus sévères" contre la Russie.

10:51 heure de Beyrouth

L'Union européenne a condamné le comportement "intolérable" de la Russie et prévenu que le régime du président russe Vladimir Poutine allait devoir affronter "un isolement sans précédent".

10:19 heure de Beyrouth

Le bilan des pertes des forces armées ukrainiennes est passé à trois morts, toutes subies le long de la frontière sud avec la Crimée annexée par Moscou, ont annoncé les gardes-frontières.

10:13 heure de Beyrouth

Le président ukrainien a donné l'ordre à ses troupes d'infliger le maximum de pertes aux militaires russes, a indiqué sur Facebook le commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valery Zaloujni.

"Le commandant suprême des forces armées (le président Volodymyr Zelensky) a donné l'ordre qu'un maximum de pertes soient infligées à l'agresseur", a indiqué le général, assurant que l'armée "contrait avec dignité" les attaques ennemies.

10:04 heure de Beyrouth

Des images de vidéosurveillance montrent des véhicules militaires russes entrant en territoire ukrainien depuis la Crimée, le 24 février 2022. (Photo State Border Guard Service of Ukraine/Handout via REUTERS)

09:59 heure de Beyrouth

La Chine a indiqué qu'elle "suivait de près" la situation en Ukraine, s'abstenant de condamner Moscou et appelant à éviter une escalade. "Nous exhortons toutes les parties à faire preuve de retenue pour éviter que la situation ne devienne hors de contrôle", a indiqué devant la presse une porte-parole de la diplomatie chinoise, Hua Chunying, sans condamner la Russie.

09:45 heure de Beyrouth

Moscou a fermé à la navigation la mer d'Azov, qui baigne la Russie et l'Ukraine, ont rapporté les agences de presse russes.

"La navigation dans les eaux de la mer d'Azov est suspendue depuis 4H00 (01H00 GMT) du matin jusqu'à nouvel ordre", a indiqué l'agence maritime russe Rosmorretchflot, citée par Interfax.

09:40 heure de Beyrouth

Les garde-frontières ukrainiens annoncent un premier mort dans l'invasion russe. "Suite à des tirs de roquettes (...) depuis le territoire de la Crimée occupée, un garde-frontière a été tué", ont-ils dit.

09:37 heure de Beyrouth

De la fumée noire s'échappe au-dessus de l'aéroport militaire de Chuguyev, près de Kharkiv en Ukraine, le 24 février 2022 après le début de l'offensive russe. (Photo Aris Messinis / AFP)

09:31 heure de Beyrouth

Le Kremlin va devoir "rendre des comptes" et des sanctions aux "conséquences massives" contre Moscou seront examinées jeudi soir lors du sommet des Vingt-Sept en vue d'une "adoption rapide" après l'attaque contre l'Ukraine, ont averti les chefs de l'Union européenne.

"Les leaders de l'UE vont discuter de nouvelles mesures restrictives qui auront des conséquences massives et sévères sur la Russie pour son action, en étroite coordination avec nos partenaires transatlantiques", indique le président du Conseil Charles Michel, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, dans un communiqué commun.

09:30 heure de Beyrouth

L'Australie a annoncé une "deuxième série" de sanctions à l'encontre de la Russie, ouvrant ainsi la voie à de nombreux pays désireux de prendre de nouvelles mesures à l'encontre de Moscou.

Le Premier ministre australien Scott Morrison a condamné l'"invasion illégale" de la Russie en annonçant des sanctions à l'encontre de quatre institutions financière et de 25 personnes appartenant à quatre entités en charge du développement et de la vente de technologies militaires et d'armes.

09:20 heure de Beyrouth

Des forces terrestres russes sont entrées sur le territoire ukrainien, notamment depuis la Crimée annexée, ont indiqué les garde-frontières ukrainiens.

"Des véhicules militaires russes, y compris des blindés, ont violé la frontière dans les régions de Tcherniguiv (nord, frontière bélarusse), Soumy (nord-est, frontière russe), Lougansk et Kharkiv (est, frontière russe)" par le point de passage entre la péninsule et la partie continentale de l'Ukraine, ont indiqué les garde-frontières en publiant une vidéo sur laquelle on voit des véhiculés marqués de la lettre Z.

09:18 heure de Beyrouth

La Banque centrale russe a annoncé commencer des "interventions" sur le marché des changes afin de "stabiliser la situation" après la chute du rouble.

"Afin de stabiliser la situation sur le marché financier, la Banque de Russie a décidé de commencer des interventions sur le marché des changes", a annoncé la Banque centrale dans un communiqué. Ces mesures sont également destinées à "fournir des liquidités supplémentaires au secteur bancaire" russe, menacé par les sanctions occidentales. "La Banque de Russie assurera le maintien de la stabilité financière et la continuité des opérations des institutions financières, en utilisant tous les outils nécessaires", a-t-elle encore indiqué, assurant avoir des "plans d'action clairs pour tout scénario".

09:13 heure de Beyrouth

Des passants devant les débris d'un missile russe qui s'est abattu sur Kiev, la capitale ukrainienne, le 24 février 2022. Photo Sergei SUPINSKY / AFP

09:08 heure de Beyrouth

Réactions - "La France condamne fermement la décision de la Russie de faire la guerre à l'Ukraine", a déclaré jeudi Emmanuel Macron, en appelant Moscou à "mettre immédiatement fin à ses opérations militaires".

"La France est solidaire de l'Ukraine. Elle se tient aux côtés des Ukrainiens et agit avec ses partenaires et alliés pour que cesse la guerre", a ajouté le chef de l'Etat dans deux tweets.

09:00 heure de Beyrouth

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko, un allié de Moscou, va convoquer les chefs de son armée sur fond d'opération militaire lancée par Moscou contre l'Ukraine, a annoncé jeudi une chaîne Telegram liée à la présidence. "Loukachenko convoque rapidement une réunion avec les militaires. La réunion au Palais de l'Indépendance commence dans une heure" vers 08H00 GMT, a indiqué la chaîne Telegram "Pool Pervogo".

08:37 heure de Beyrouth

Le gouvernement allemand a qualifié jeudi matin l'opération militaire russe lancée en Ukraine de "violation éclatante du droit international" et menacé Moscou de "lourdes conséquences économiques. "L'Allemagne condamne de la manière la plus ferme cet acte sans scrupules du président (Vladimir) Poutine", a indiqué le chancelier Olaf Scholz, dont le pays assure actuellement la présidence du forum du G7. Il s'agit "d'un jour terrible pour l'Ukraine" et "sombre" pour l'Europe toute entière, a ajouté M. Scholz, qui s'est entretenu dans la matinée au téléphone avec le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky pour lui promettre "la pleine solidarité" de l'Allemagne. "Cette attaque aura de lourdes conséquences politiques et économiques pour la Russie", a menacé en parallèle son vice-chancelier et Ministre de l'Economie, Robert Habeck, dans un communiqué. Berlin a déjà suspendu cette semaine la mise en service du nouveau gazoduc stratégique reliant la Russie à l'Allemagne en contournant la Russie, Nord Stream II.

08:36 heure de Beyrouth

En image : Dans le métro de Kiev, des dizaines d'habitants tentaient de se mettre à l'abri jeudi matin ou de prendre un train, valise à la main pour quitter la ville, a constaté un photographe de l'AFP. (Photo Daniel LEAL / AFP)

08:26 heure de Beyrouth

L'armée ukrainienne a affirmé jeudi avoir abattu dans l'est du pays cinq avions et un hélicoptère de l'armée russe qui a lancé dans la matinée une opération militaire contre l'Ukraine. "Cinq avions et un hélicoptère de l'agresseur ont été abattus", a indiqué l'état-major de l'armée ukrainienne dans un communiqué.

08:25 heure de Beyrouth

L'armée russe a affirmé jeudi avoir détruit les systèmes de défense anti-aérienne et mis "hors service" les bases aériennes de l'Ukraine, où Moscou a lancé dans la matinée une opération militaire. "L'infrastructure militaire des bases aériennes des forces armées ukrainiennes a été mise hors service", a indiqué le ministère russe de la Défense, cité par les agences de presse russes. "Les installations de défense anti-aérienne des forces armées ukrainiennes ont été détruites", a-t-il ajouté.

08:25 heure de Beyrouth

Le monde doit créer "une coalition anti-Poutine" pour "contraindre la Russie à la paix", a déclaré jeudi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dont le pays est la cible d'une opération militaire de Moscou. "Nous sommes en train de bâtir une coalition anti-Poutine", a déclaré M. Zelensky à l'issue d'entretiens notamment avec les dirigeants américain, britannique et allemand. "Le monde doit contraindre la Russie à la paix", a-t-il ajouté

08:11 heure de Beyrouth

Réactions - L'opération militaire russe est "une violation éclatante" du droit international, a dénoncé le chancelier allemand Olaf Scholz

08:11 heure de Beyrouth

Réactions - "La Russie a fait le choix de la guerre. La France condamne dans les termes les plus forts le déclenchement de ces opérations", a dénoncé l'ambassadeur de France à l'ONU, Nicolas de Rivière. Cette décision, "au moment même où ce Conseil est réuni, illustre le mépris dans lequel la Russie tient le droit international et les Nations unies", a-t-il ajouté. "Nous appelons la Russie à respecter le droit international humanitaire en toutes circonstances, nous appelons à la protection et au respect de tous les civils, notamment les personnes vulnérables, les femmes et les enfants, et le personnel humanitaire", a-t-il également lancé.

08:11 heure de Beyrouth

Réactions - Après le début de l'opération russe,  le président américain Joe Biden a dénoncé "l'attaque injustifiée" de la Russie contre l'Ukraine. "Le président Poutine a choisi (de lancer) une guerre préméditée qui entraînera des souffrances et pertes humaines catastrophiques", a dit M. Biden dans un communiqué. "La Russie, seule, est responsable de la mort et de la destruction que cette attaque provoquera", a-t-il insisté, assurant que "le monde exigerait des comptes de la Russie".

08:09 heure de Beyrouth

Les sirènes d'alarme anti-bombardement ont retenti jeudi matin à Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine, alors que le pays fait face à une opération militaire lancée par la Russie, ont constaté des journalistes de l'AFP. Les habitants locaux ont par ailleurs reçu des messages de l'administration régionale appelant à "garder le calme" et à attendre des instructions des autorités.

08:03 heure de Beyrouth

Un peu d'histoire russo-ukrainienne :

Les peuples russe et ukrainien sont liés par un millénaire d'histoire, des racines remontant à la Russie kiévienne - un Etat slave médiéval avec Kiev pour capitale s'étendant sur une partie de l'Ukraine et de la Russie européenne telles qu'elles existent aujourd'hui - à l'URSS en passant par l'Empire russe. Si la plus grande partie du territoire actuel de l'Ukraine a été intégrée à la Russie tsariste, certaines régions occidentales ont connu diverses dominations.

Après la révolution bolchévique, l'Ukraine est devenue une république soviétique, mais, à partir de son indépendance en 1991, les tensions avec la Russie se sont accentuées, culminant en 2014 avec une révolution pro-occidentale. Dans la foulée, Moscou a annexé la péninsule de Crimée (sud), et soutient depuis des rebelles séparatistes dans l'est, conflit qui a coûté la vie à plus de 14.000 personnes.

Cette année, après avoir massé des dizaines de milliers de soldats aux frontières ukrainiennes, le président russe Vladimir Poutine a reconnu le 21 février l'indépendance des "républiques" séparatistes et y a ordonné un déploiement de troupes. Jeudi, il a annoncé une "opération militaire" en Ukraine, annonce suivie de plusieurs explosions.

La plupart des Ukrainiens comprennent deux langues - l'ukrainien et le russe - bien qu'aujourd'hui, une politique d'"ukrainisation" exige que les médias publient en ukrainien et que langue et littérature russes disparaissent des programmes scolaires. Pour Kiev, il s'agit d'inverser la russification à marche forcée de l'Ukraine à l'époque soviétique.

(Kiev. Photo Umit Bekta/Reuters)

07:56 heure de Beyrouth

"J'ai pris la décision d'une opération militaire spéciale", avait annoncé jeudi à l'aube Vladimir Poutine dans une déclaration à la télévision, sans préciser l'ampleur de cette intervention. "Nous nous efforcerons d'arriver à une démilitarisation et une dénazification de l'Ukraine", a dit le maître du Kremlin assis à un bureau en bois sombre, promettant de conduire "au tribunal ceux qui ont commis de nombreux crimes, responsables de l'effusion de sang de civils, notamment des citoyens russes". "Nous n'avons pas dans nos plans une occupation des territoires ukrainiens, nous ne comptons imposer rien par la force à personne", a-t-il assuré, appelant les militaires ukrainiens "à déposer les armes". Puis, il s'est adressé à ceux "qui tenteraient d'interférer avec nous (...) ils doivent savoir que la réponse de la Russie sera immédiate et conduira à des conséquences que vous n'avez encore jamais connues".

Quelques heures plus tôt, le Kremlin avait annoncé que les responsables des "républiques" séparatistes prorusses autoproclamées dans l'est de l'Ukraine avaient demandé l'"aide" de Vladimir Poutine pour "repousser l'agression" ukrainienne.

(Photo Russian Pool/Reuters TV via REUTER)

07:52 heure de Beyrouth

Les vols ont été annulés jeudi depuis les aéroports des grandes villes du sud de la Russie, à proximité de l'Ukraine, où Moscou a lancé une opération militaire, a annoncé l'agence russe d'aviation. Selon Rosaviatsia, les vols sont annulés à Rostov-sur-le-Don, Krasnodar, Sotchi, Anapa, Gelendjik, Elista, Stavropol, Bolgorod, Briansk, Orel, Koursk et Voronej, toutes situées à proximité de l'Ukraine ou au bord de la mer Noire. L'annulation concerne aussi Simféropol, la capitale de la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée en 2014 par la Russie.

Selon l'agence russe, cette décision est motivée par "la situation compliquée en Ukraine", où Moscou a lancé dans la nuit une opération militaire. Ces restrictions seront en vigueur jusqu'au 2 mars, selon la même source.

07:51 heure de Beyrouth

Les ambassadeurs des 30 pays membres de l'Otan vont se réunir en urgence jeudi matin à Bruxelles à la suite de l'opération militaire russe contre l'Ukraine, a annoncé un porte-parole de l'Alliance. Le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg, qui a condamné l'"attaque téméraire et non provoquée" de Moscou, doit tenir une conférence de presse vers 12H30 (11H30 GMT), selon la même source.

07:49 heure de Beyrouth

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel ont dénoncé jeudi l'attaque de la Russie contre l'Ukraine et se sont engagés à demander à Moscou de "rendre des comptes". "Nous condamnons fermement l'attaque injustifiée de la Russie contre l'Ukraine. En ces heures sombres, nos pensées vont à l'Ukraine et aux femmes, hommes et enfants innocents qui font face à cette attaque non provoquée et craignent pour leur vie", on-t-il tous deux écrit sur Twitter. "Nous demanderons au Kremlin de rendre des comptes".
Les dirigeants européens devaient tenir un sommet éclair jeudi en fin de journée, convoqué avant que des frappes aériennes russes n'atteignent les villes ukrainiennes dans la nuit. Ils ont déjà décidé d'une première série de sanctions à l'encontre de la Russie après que le président Vladimir Poutine a reconnu l'indépendance des régions d'Ukraine tenues par les rebelles. Lors du sommet de jeudi, qui sera présidé par M. Michel, ils pourraient aller plus loin avec un deuxième série de sanctions, beaucoup plus sévères.

07:48 heure de Beyrouth

De puissantes explosions étaient entendues jeudi matin à Kiev, Odessa (sud), Kharkiv à la frontière russe et dans l'est de l'Ukraine après l'annonce par Vladimir Poutine d'une opération militaire contre le pays, selon des journalistes de l'AFP. Le ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kouleba a annoncé le début d'une "invasion de grande ampleur de la Russie". Le ministère ukrainien de l'Infrastructure a annoncé dans la foulée la fermeture de l'espace aérien invoquant "un haut risque pour la sécurité" dans un communiqué sur son site.

Les sirènes d'avertissement anti-bombardement ont retenti jeudi matin vers 7h00 dans le centre de Kiev, la capitale de l'Ukraine, ont constaté des journalistes de l'AFP. Dans le métro de Kiev, des dizaines d'habitants tentaient de se mettre à l'abri ou de prendre un train, valise à la main pour quitter la ville, a constaté un photographe de l'AFP.

Dans la capitale, au moins deux explosions ont été entendues dans le centre-ville tôt le matin, suivies de sons de sirènes d'ambulances. A 600 km de là, au sud de l'Ukraine, dans la ville portuaire d'Odessa, sur la mer Noire des explosions ont aussi retenti. Kharkiv, deuxième ville du pays située près de la frontière russe était aussi frappée.

Dans la ville portuaire de Marioupol, plus grande ville ukrainienne proche de la zone de front avec près d'un demi million d'habitants, plusieurs personnes ont indiqué à l'AFP entendre des bombardements d'artillerie depuis le quartier situé dans l'est de la ville.

Plus près du front du conflit de l'est opposant depuis huit ans séparatistes prorusses et forces ukrainiennes, à Kramatorsk, ville qui sert aussi de quartier général à l'armée ukrainienne, au moins quatre explosions puissantes ont également été entendues par des journalistes de l'AFP.

(Photo : deux jeunes à Kiev, après l'annonce du président Poutine. Daniel LEAL / AFP)

07:46 heure de Beyrouth

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a condamné jeudi les "événements horribles en Ukraine", estimant que le président russe Vladimir Poutine "a choisi la voie de l'effusion de sang et de la destruction en lançant cette attaque non provoquée". "Le Royaume-Uni et nos alliés répondront de manière décisive", a-t-il tweeté, ajoutant qu'il avait parlé au président ukrainien Volodymyr Zelensky.

07:45 heure de Beyrouth

L'Ukraine a été attaquée jeudi par la Russie le long des frontières russe et bélarusse, ont déclaré dans un communiqué les garde-frontières ukrainiens. "La frontière d'Etat ukrainienne a été attaquée par des troupes russes depuis la Russie et le Bélarus", a indiqué ce communiqué selon lequel les attaques ont notamment été réalisées à l'aide d"'artillerie".

07:44 heure de Beyrouth

Le président russe Vladimir Poutine a annoncé jeudi à l'aube une "opération militaire" en Ukraine où de puissantes explosions ont retenti dans plusieurs villes du pays, Kiev affirmant qu'une "invasion de grande ampleur" était en cours. Dans une adresse à la nation, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a proclamé la loi martiale dans tout le pays. "Pas de panique", "nous allons vaincre", a-t-il dit aux Ukrainiens.

Peu après la déclaration surprise à la télévision du maître du Kremlin, qui a dit vouloir défendre les séparatistes prorusses de l'est de l'Ukraine, une série d'explosions ont été entendues à Kiev, où les sirènes d'alarme anti-bombardement ont retenti. Dans le métro de Kiev, des dizaines d'habitants tentaient de se mettre à l'abri ou de prendre un train, valise à la main pour quitter la ville, a constaté un photographe de l'AFP. Des explosions ont également été entendues à Kramatorsk, ville dans l'est qui sert de quartier-général à l'armée ukrainienne, à Kharkiv, deuxième ville du pays, et à Odessa, sur la mer Noire.

commentaires (3)

sanctionnez , sanctionnez, petards mouilles, tout le monde est revolte mais tous, on leur part de responsabilite et tous vont payer tres cher les consequences . devinez ,qui va en profiter ? celui qui tergiverse et ne prends pas position et qui menage la chevre et le chou .Sa position aurait ete determinente . mais quand on represente 19 % de la population mondiale, on n a besoin de personne.

Jimmy Barakat

22 h 26, le 24 février 2022

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Commentaires (3)

  • sanctionnez , sanctionnez, petards mouilles, tout le monde est revolte mais tous, on leur part de responsabilite et tous vont payer tres cher les consequences . devinez ,qui va en profiter ? celui qui tergiverse et ne prends pas position et qui menage la chevre et le chou .Sa position aurait ete determinente . mais quand on represente 19 % de la population mondiale, on n a besoin de personne.

    Jimmy Barakat

    22 h 26, le 24 février 2022

  • Libre expression certes mais étriquée…

    Karam Georges

    12 h 05, le 24 février 2022

  • LE RUSSE HIER LA SYRIE AUJOURD,HUI L,UKRAINE. LES OCCIDENTAUX HIER ONT CREE ISRAEL SUR LA TERRE DE LA PALESTINE, ONT DIVISE LA KOREE AVEC LES CHINOIS, ONT DIVISE LE VIETNAM AVEC RUSSES ET CHINOIS, ONT DECHIQUETE HIERB ENCORE LA YUGOSLAVIE, PUIS DETRUIT L,IRAQ, L,AFGHANISTAN, LA LYBIE, ET LE TURC LEUR PARTENAIRE DE L,OTAN A DIVISE CHYPRE... OU ETAIENT LES CRIS HYSTERIQUES DES OCCIDENTAUX POUR LES DROITS DES PEUPLES A L,AUTODERTEMINATION ? QUI A INSTALLE DES ARMES ATOMIQUES DANS TOUS LES PAYS QUI BORDENT LA RUSSIE ET POURQUOI ? QUI A PROVOQUE CE QUI SE PASSE AUJOURD,HUI ? LES OCCIDENTAUX... SPECIFIQUEMENT LES AMERICAINS ET L,OTAN SOUS LEUR CONTROLE EXCLUSIF.

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 35, le 24 février 2022

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