
Des enfants déplacés du Liban-Sud dans le bus de l'association Tiro aux côtés de son fondateur Kassem Istanbuli, le 30 avril 2024 à Tyr. Photo Mohammad Yassine
Théâtre, dessin ou cours de photo, l’association Tiro pour les arts offre aux enfants ayant fui les villages frontaliers du Sud un espace d’évasion momentanée.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 05 mai 2024 à 11h11
Des enfants déplacés du Liban-Sud dans le bus de l'association Tiro aux côtés de son fondateur Kassem Istanbuli, le 30 avril 2024 à Tyr. Photo Mohammad Yassine
Bravo à cette Association, hélas, les enfants sont toujours les dommages collatéraux des problèmes d'adultes. Je n'ose imaginer la colère et la haine dans lesquelles vont grandir les enfants de Gaza.
Pauves enfants. Quelle est leur faute pour subir ceci?? Qu'on t ils faits pour que les adultes leur fassent subir ceci?? Pourquoi le hezbollah et les organisations milices palestiniennes ont ils engoufré le pays dans cette guerre qui ne concerne PAS le liban. Oui il faut à tout prix sauver ces générations en leur inculquant l'amour de l'autre et non la haine de l'autre. En leur inculquant le bonheur de vivre, d'apprendre et de profiter de la vie et non la misère, la guerre et la mort. Bravo à ces associations qui s'y impliquent. Ce sont les futures générations du Liban après tout.
Bravo à cette Association, hélas, les enfants sont toujours les dommages collatéraux des problèmes d'adultes. Je n'ose imaginer la colère et la haine dans lesquelles vont grandir les enfants de Gaza.
13 h 21, le 06 mai 2024