Pour réaliser ses ambitions éducatives, la Lebanese American University s’est dotée de deux campus qui lui permettent de disposer de l’espace et des équipements nécessaires à une vie universitaire de qualité.
Son campus historique est situé à Beyrouth, en périphérie du quartier animé de Hamra. Il est organisé autour du premier bâtiment de la faculté, bâti en 1933, qui était initialement un collège de jeunes filles fondé par une citoyenne américaine. Dans un cadre vert et agréable, les étudiants peuvent notamment suivre les formations de design, d’architecture ou de mode, qui sont les spécialisations de ce campus.
Toujours en croissance, le campus ne cesse jamais de développer de nouvelles infrastructures, comme par exemple avec l’acquisition et la rénovation récente de l’immeuble Gezairi, destiné à devenir le futur épicentre de l’école d’architecture.
Depuis les années 90, parallèlement à ce cœur historique, la LAU a développé un nouveau campus sur les hauteurs de Byblos. Espace, infrastructures et nouveaux bâtiments : tout y est réuni pour accueillir un grand nombre d’étudiants et les formations les plus techniques. « Certains étudiants peuvent choisir de venir vivre ici, toutefois la position centrale de Byblos au Liban permet également de venir durant la journée pour suivre les cours et repartir le soir », précise Barbar Akl.
Le campus de Byblos possède également des équipements de pointe, comme une bibliothèque parmi les plus fournies du Moyen-Orient, un laboratoire d’ingénierie de plus de 900 m² pour 45 espaces de travail, ainsi qu’une salle de simulation médicale avec mannequins interactifs. « Ce nouveau dispositif transforme la manière dont on enseigne la médecine : avant d’exercer sur les patients réels, nos étudiants ont l’opportunité de s’entraîner sur de faux patients, qui crient quand ils ont mal, ont des organes et des réactions biologiques. En termes d’expérience, c’est très précieux. »
Sur le plan académique, ces multiples infrastructures expliquent l’exclusivité de certaines filières majeures au campus de Byblos, comme le cursus d’ingénierie après la deuxième année, ou celui de pharmacie.
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