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Nos Lecteurs ont la Parole - Sylvain THOMAS

Prendre de l’essor dans sa propre vie

Comment rester jeune malgré le poids des années ? Est-il possible de ne jamais réellement vieillir ? Certainement ! Préservons en nous-mêmes la jeunesse des pensées et de l’imagination, la fraîcheur de l’esprit, du cœur et de l’âme. Voici les secrets qui permettent de capter les vraies richesses de la vie. Ces règles simples et pratiques rendront notre réussite plus complète tout en nous apportant le bonheur véritable.

Nombre de gens vivent sans trop d’objectifs et ne savent pas où ils veulent en arriver. Une moyenne de gens n’ont aucun plan d’action précis dans la vie. Ils se remettent au hasard des situations qu’ils trouvent et se laissent vivre au petit bonheur. Il leur manque une ligne de conduite indispensable s’ils veulent rester dans la bonne direction.

« Connais-toi toi-même ! » a dit le sage. Suivons ce conseil judicieux : analysons notre personnalité, nos penchants, nos aspirations. En fonction de nos aptitudes, voyons ce qu’il nous plaît le plus de faire. Tenons compte des lacunes à éviter.

Bien malin qui pourrait dire tout de suite qu’il a fait sérieusement son examen de conscience et confirmer de façon précise ce qu’il veut faire dans la vie. De temps à autre, accordons-nous un moment de répit ; faisons alors un retour sur nous-mêmes et tâchons de voir où nous en sommes…

Dans le travail, comme dans la lutte pour le bonheur, voyons grand, soyons audacieux, faisons preuve d’imagination. Celui qui vise haut tombe juste et s’engage dans la bonne voie.

Nous n’avons pas idée des forces que l’homme peut puiser dans sa foi en Dieu et dans son âme. C’est une source d’où jaillissent nos sentiments et la force qui nous entraîne vers le bien.

La foi est une baguette magique qui libère l’énergie inépuisable de l’esprit, du cœur et de l’âme : foi en Dieu, foi en la victoire, foi qui permet de surmonter les difficultés et les échecs, foi qui dompte la peur, foi en la réalisation de nos espoirs. La puissance de la foi est formidable.

Des peuples entiers semblent avoir sombré dans un désespoir sans issue, après avoir perdu leur foi. C’est la tragédie de ce nouveau siècle, en particulier les problèmes qui ont envahi un mini-État qui a voulu se transformer en grand État et dominer une partie de la région du Proche-Orient. Ils ont senti que le contrôle de leur propre destin leur a échappé, que la guerre, l’oppression et la confusion les ont submergés et jetés sans espoir en les ballottant en tout sens comme des robots. Ils écoutaient un faux visionnaire. La véracité de cette parole de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans l’Évangile devrait inspirer toute personne : « Tout est possible à celui qui croit ! » Ce qu’un homme particulier peut imaginer, il peut le réaliser s’il est dans la bonne voie, mais le faux visionnaire est dans l’erreur tout simplement.

Une règle qu’il faut mettre en pratique : « L’amour profond de son prochain, quel qu’il soit », est la marque infaillible des esprits supérieurs. À l’inverse, l’homme qui ne sait que nous dire : « Qu’est-ce que cela me rapportera ? » marche dans un tunnel qui le conduit à l’échec.

Travailler n’est pas autre chose que répondre aux besoins de l’humanité. Nous nous élèverons dans la mesure où nous nous mettrons à son service. Nos relations avec nos semblables conditionnent le succès de nos réalisations.

Si nous voulons tirer le meilleur parti de notre propre vie, nous devons « donner », « donner encore » et donner toujours de nous-mêmes aux autres : « Tout donner, c’est la chose la plus difficile au monde, et pourtant, c’est, en général, la seule manière de tout avoir. »

Nous pouvons prendre conscience que la vie est tellement remplie de joies et de hasards de la découverte que nous nous consacrerons tout entiers à notre tâche. L’amour du travail est une condition indispensable du bonheur dans le cadre d’une vie active.

Dans le travail, chacun de nous peut trouver de la joie et de l’exaltation. Tout au long de sa vie, nous avons besoin de travailler pour entretenir et cultiver notre esprit. Si certains ne voient rien d’autre dans leur métier qu’une corvée, il ne faut pas s’en étonner. S’ils n’ont pas le feu sacré, c’est qu’il leur manque un stimulant ; ils ne se rendent pas compte que leur tâche quotidienne est un pas de plus accompli sur le chemin d’une œuvre plus grande. Travaillons et développons toutes nos facultés.

De l’audace ! De la hardiesse ! Du courage ! Il y a du plaisir dans la concurrence. Savourons-le ! Quelle joie d’avoir à donner le meilleur de soi-même pour lutter contre des concurrents qui savent prendre leurs risques et qui ne ménagent pas leur peine. Dans notre prière quotidienne, nous devrions demander à Dieu de nous apprendre à libérer l’immense énergie dont nous disposons pour croire, servir et travailler.

Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour.

Comment rester jeune malgré le poids des années ? Est-il possible de ne jamais réellement vieillir ? Certainement ! Préservons en nous-mêmes la jeunesse des pensées et de l’imagination, la fraîcheur de l’esprit, du cœur et de l’âme. Voici les secrets qui permettent de capter les vraies richesses de la vie. Ces règles simples et pratiques rendront notre réussite plus complète...

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