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Liban

Siniora stigmatise « l’intensification de la répression » contre la liberté d’expression

Fouad Siniora. Photo Hassan Assal

L’ancien Premier ministre Fouad Siniora a stigmatisé hier l’intensification de la « répression visant à faire taire les activistes », proclamant son soutien à la manifestation organisée mardi soir par la société civile pour dénoncer les atteintes à la liberté d’expression au Liban.
« La Constitution libanaise protège les libertés publiques et la liberté d’expression des citoyens dans le cadre de la loi. Cette liberté est une des spécificités du Liban dans la région et dans le monde », a souligné M. Siniora dans un communiqué. Il s’est, dans ce contexte, « étonné de l’augmentation des pratiques de répression visant à faire taire les citoyens et les activistes et à limiter l’expression de leurs opinions ».
Affichant son soutien aux activistes de la société civile qui ont organisé une manifestation pacifique place Samir Kassir, mardi soir, il a dénoncé « les opérations menées par le bureau de lutte contre la cybercriminalité contre les activistes et les blogueurs et leurs condamnations ».Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion rue Clémenceau sous la présidence du député Teymour Joumblatt, le Rassemblement démocratique a lui aussi stigmatisé « les atteintes aux libertés publiques et les tentatives de les museler, à commencer par la liberté d’expression et d’opinion, qui est considérée comme l’une des particularités fondamentales de la vie politique et sociale au Liban ».

L’ancien Premier ministre Fouad Siniora a stigmatisé hier l’intensification de la « répression visant à faire taire les activistes », proclamant son soutien à la manifestation organisée mardi soir par la société civile pour dénoncer les atteintes à la liberté d’expression au Liban. « La Constitution libanaise protège les libertés publiques et la liberté...

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Dans un pays démocratique, si quelqu'un, citoyen lambda, député, ministre ou président de la République s'estime lésé par des propos quelconques, il entame un procès pour diffamation et la justice tranche. Et c'est tout!

Yves Prevost

07 h 53, le 26 juillet 2018

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Commentaires (1)

  • Dans un pays démocratique, si quelqu'un, citoyen lambda, député, ministre ou président de la République s'estime lésé par des propos quelconques, il entame un procès pour diffamation et la justice tranche. Et c'est tout!

    Yves Prevost

    07 h 53, le 26 juillet 2018

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