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Culture - Génération Orient

Génération Orient III : #3 Ghaleb Hawila, calligraphe, 25 ans

Ghaleb Hawila, en mode selfie

Au commencement était le point, essence de la calligraphie, fondement de la religion islamique et origine du cosmos. Le point : ce zéro, ce néant, à la fois début et fin ; ce même point que Ghaleb Hawila, étudiant en design à l’AUST, va explorer, sonder, pour l’étirer jusqu’à l’infini en assurant sa jonction avec l’art. 

Au commencement était aussi le trait, cette ligne tatouée sur sa main qui indique une cicatrice qui a tendance à disparaître avec le temps. Comme une mince ligne qui sépare, selon lui, la vie de la mort : à la suite d’un accident qui a failli le tuer, il comprend que tout peut basculer d’un jour à l’autre, et qu’il faut s’en souvenir pour savoir profiter de la vie et de tout ce qu’elle offre.

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Ghaleb Hawila est le troisième « soldat », après Tania el-Khoury et Roy Dib, de la troisième édition de Génération Orient, un vaste projet de résistance culturelle lancé, le 17 mai 2016, par « L'Orient-Le Jour » en partenariat avec la Société générale de banque au Liban (SGBL). Génération Orient est uniquement axé sur deux postulats incontournables et indiscutables : la jeunesse et l'art. Parce que plus que tous les autres, ces deux moteurs peuvent assurer la renaissance et la sérénité du Liban.


Retrouvez ici la première édition de Génération Orient

et

Retrouvez ici la deuxième édition de Génération Orient

Au commencement était le point, essence de la calligraphie, fondement de la religion islamique et origine du cosmos. Le point : ce zéro, ce néant, à la fois début et fin ; ce même point que Ghaleb Hawila, étudiant en design à l’AUST, va explorer, sonder, pour l’étirer jusqu’à l’infini en assurant sa jonction avec l’art.  Au commencement était aussi le trait, cette ligne...

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