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Liban - Disparus

Samy Gemayel : Il y a des détenus dans les prisons syriennes et l’État ne l’admet pas

Samy Gemayel entouré de la famille de Boutros Khawand. Photo kataeb.org

Le parti Kataëb a commémoré hier le 25e anniversaire du rapt de Boutros Khawand, membre du bureau politique. Le chef du parti, Samy Gemayel, est revenu pour l'occasion sur le dossier des Libanais détenus en Syrie et a appelé à le régler.
« Boutros Khawand était un père pour les résistants, il leur rendait visite sur le front et il a consacré sa vie à sa patrie », a dit Samy Gemayel à l'issue d'une marche dans Beyrouth consacrée à Khawand. « Pourquoi y a-t-il au Liban des gens plus importants que d'autres et certains pour lesquels l'État n'est pas prêt à négocier, alors qu'il est prêt à défendre des terroristes et à les faire partir dans des bus climatisés ? » s'est demandé le chef des Kataëb, en allusion à l'accord entre le Hezbollah et les combattants de l'État islamique dans les jurds de Qaa et de Ras Baalbeck. « Pourquoi y a-t-il une résistance de haut niveau et une autre de niveau moindre ? (...) Il y a des détenus dans les prisons syriennes et l'État ne l'admet pas », s'est-il insurgé. « Ne savez-vous pas que plus de 330 Libanais se trouvent dans les prisons syriennes? » s'est-il exclamé à l'adresse des trois ministres qui se sont rendus récemment à Damas à l'invitation des autorités syriennes.
Interpellant les ministres du CPL et des Forces libanaises « qui se retrouvent avec les ministres qui se rendent à Damas au sein d'un même gouvernement », il les a exhortés à « donner des réponses à la famille de Boutros Khawand sur le sort » du disparu.

Le parti Kataëb a commémoré hier le 25e anniversaire du rapt de Boutros Khawand, membre du bureau politique. Le chef du parti, Samy Gemayel, est revenu pour l'occasion sur le dossier des Libanais détenus en Syrie et a appelé à le régler.« Boutros Khawand était un père pour les résistants, il leur rendait visite sur le front et il a consacré sa vie à sa patrie », a dit Samy Gemayel...

commentaires (4)

Abou-Bakr el-Baghdadi (Irakien), Abou-Mohammad el-Joulani (Syrien), Abou-Mossaab el-Zarkaoui (Jordanien)... Nous attendons l'apparition d'un Abou-Nabih el-Loubnani pour aller dans les geôles syriennes à el-Mazzé et partout ailleurs et ce, à la recherche des prisonniers libanais de toutes tendances enlevés au Liban aux temps funestes de l'occupation "provisoire" Syrienne qui avait duré 30 ans, afin de les rendre à leurs parents.

Un Libanais

19 h 09, le 16 septembre 2017

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Commentaires (4)

  • Abou-Bakr el-Baghdadi (Irakien), Abou-Mohammad el-Joulani (Syrien), Abou-Mossaab el-Zarkaoui (Jordanien)... Nous attendons l'apparition d'un Abou-Nabih el-Loubnani pour aller dans les geôles syriennes à el-Mazzé et partout ailleurs et ce, à la recherche des prisonniers libanais de toutes tendances enlevés au Liban aux temps funestes de l'occupation "provisoire" Syrienne qui avait duré 30 ans, afin de les rendre à leurs parents.

    Un Libanais

    19 h 09, le 16 septembre 2017

  • C'est sûrement vrai , mais il y en avait aussi en pays usurpé de Palestine , LE HEZB LIBANAIS DE LA RESISTANCE LIBANAISE EST ALLE LES CHERCHER , LUI . Faites en autant .

    FRIK-A-FRAK

    12 h 08, le 16 septembre 2017

  • CERTES QU,IL Y EN A MAIS L,ETAT NE VEUT PAS L,ADMETTRE A MOINS QU,IL AIT DES INFOS QU,IL N,Y EN A PLUS DE VIVANT...

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 30, le 16 septembre 2017

  • Je pense qu'il faudrait parler au passé car il est probable que ces 330 prisonniers ont dû être exécutés. Quoi qu'il en soit, il est nécessaire que l'Etat s'enquière de leur sort. D'autant plus que parmi ces détenus, figurent un certain nombre de soldats dont le seul crime est d'être restés fidèles à leur commandant en chef.

    Yves Prevost

    06 h 43, le 16 septembre 2017

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