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Économie - Classement

Beyrouth reste la 4e ville arabe la plus chère

Photo Jamal Saidi / Reuters

Beyrouth est classée 52e ville la plus chère au monde pour les expatriés et 4e parmi 17 villes arabes, selon l'étude annuelle du cabinet américain Mercer publiée hier.

En 2016, Beyrouth avait été classée 50e ville la plus chère au monde et la 4e plus onéreuse au niveau des pays arabes, toujours selon Mercer.

L'étude qui a été effectuée en mars 2017 prend en compte plusieurs facteurs comme le coût du logement, de l'alimentation, de l'habillement, du transport et des loisirs, par rapport au coût de la vie à New York comme base de comparaison. Cette étude permet notamment aux multinationales de déterminer les compensations financières qu'elles doivent accorder à leurs collaborateurs expatriés.
Le communiqué de presse de Mercer ne précise pas l'évolution de ces paramètres pour Beyrouth, mais la capitale libanaise est généralement pénalisée dans ce classement par le coût élevé du logement, des loisirs, du sport et des transports.

 

(Pour mémoire : Beyrouth, 262e ville la plus chère du monde, selon Numbeo)

 

Le Caire chute de 92 places
Parmi les villes arabes incluses dans l'étude, seules Dubaï (20e), Abou Dhabi (23e) et Djibouti (49e) – qui ont toutes les trois connu une progression par rapport à 2016 – sont évaluées comme étant plus chères que la capitale libanaise. Riyad est pour sa part classée 52e ex aequo avec la capitale libanaise. Les trois villes les moins chères du monde arabe sont Doha (81e), Muscat (92e) et Le Caire (183e), qui a perdu 92 places par rapport à l'an dernier suite à une dévaluation de plus de 100 % de la monnaie locale égyptienne face au dollar.

Au niveau mondial, c'est Luanda (Angola) qui détient le record de la ville la plus chère cette année pour les expatriés, tandis que Hong Kong redescend à la deuxième place. Tokyo complète le podium. La fin du classement est occupée cette année par Skopje (Macédoine), Bichkek (Kirghizistan) et Tunis.

 

Pour mémoire

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Beyrouth est classée 52e ville la plus chère au monde pour les expatriés et 4e parmi 17 villes arabes, selon l'étude annuelle du cabinet américain Mercer publiée hier.
En 2016, Beyrouth avait été classée 50e ville la plus chère au monde et la 4e plus onéreuse au niveau des pays arabes, toujours selon Mercer.
L'étude qui a été effectuée en mars 2017 prend en compte...

commentaires (2)

Et pour quoi en retour exactement ?

Remy Martin

16 h 19, le 22 juin 2017

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Commentaires (2)

  • Et pour quoi en retour exactement ?

    Remy Martin

    16 h 19, le 22 juin 2017

  • Encore une petit effort gratuit ...! pour être la 2ème ville arabe la plus chère ...!

    M.V.

    12 h 20, le 22 juin 2017

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