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Économie

Sur les marchés, la contagion a déjà lieu

Les valeurs automobiles ne parvenaient pas à relever la tête hier en Bourse des deux côtés de l'Atlantique, ébranlées par le scandale Volkswagen aux États-Unis. La marque allemande, qui avait chuté lundi de près de 20 %, a clôturé sur une dégringolade de 19,82 % à 106 euros, Porsche décrochant pour sa part de 17,22 % à 41,56 euros.
À Paris, l'action Peugeot a reculé de 8,76 % à 13,86 euros, Renault de 7,12 % à 66,55 euros. À Milan, Fiat Chrysler Automobiles (FCA) a cédé 6,21 % à 11,93 euros, tandis qu'à Bruxelles, D'Ieteren, qui assure la distribution en Belgique des véhicules des marques du groupe Volkswagen et de Porsche, a lâché 5,70 % à 34,50 euros.
À Wall Street vers 19h00, General Motors baissait de 2,85 % à 29,75 dollars, et Ford de 3,80 % à 13,78 dollars. L'équipementier Delphi perdait 3,90 % à 74,22 dollars, et son concurrent BorgWarner 6,97 % à 39,64 dollars.

Les valeurs automobiles ne parvenaient pas à relever la tête hier en Bourse des deux côtés de l'Atlantique, ébranlées par le scandale Volkswagen aux États-Unis. La marque allemande, qui avait chuté lundi de près de 20 %, a clôturé sur une dégringolade de 19,82 % à 106 euros, Porsche décrochant pour sa part de 17,22 % à 41,56 euros.À Paris, l'action Peugeot a reculé de 8,76 %...
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