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À La Une - Syrie

Assad admet que son armée a subi des revers

Le président syrien assure que la guerre contre les rebelles n'est pas perdue.

Le président syrien Bachar el-Assad a reconnu mercredi pour la première fois que son armée avait subi des revers mais assuré que la guerre contre les rebelles n'était pas perdue. REUTERS/SANA

Le président syrien Bachar el-Assad a reconnu mercredi pour la première fois que son armée avait subi des revers mais assuré que la guerre contre les rebelles n'était pas perdue.

"Nous ne parlons pas de dizaines, ni de centaines mais de milliers de batailles et naturellement dans des batailles il y a des retraites, des victoires et des pertes. Il y a des hauts et des bas", a-t-il dit à Damas à l'occasion de la Journée des martyrs. "Aujourd'hui, nous sommes engagés dans une guerre et une guerre ce n'est pas une bataille, mais une série de batailles", a-t-il ajouté lors de ce discours prononcé dans une école pour les enfants de soldats morts au combat.

L'armée syrienne a perdu en un peu plus d'un mois Idleb et Jisr al-Chougour, deux villes importantes dans le nord, et dans le sud le dernier poste frontière qu'elle contrôlait avec la Jordanie. En outre, ses tentatives pour avancer dans la région de Damas se sont soldées par un échec face une rébellion unifiée.

Chemise col ouvert et costume sombre, M. Assad, qui était entouré de pupilles de la nation en uniforme kaki, a voulu rassurer ses partisans dont le moral est en berne devant les échecs de l'armée. "Dans des batailles, tout peut changer à l'exception de la foi dans les combattants et la foi du combattant dans la victoire. Aussi, quand il y a des revers, nous devons, en tant que société, faire notre devoir et soutenir le moral de l'armée et ne pas attendre que ce soit elle qui soutienne le nôtre", a-t-il insisté. Il a donc demandé que soit banni "l'esprit de frustration et de désespoir après une perte ici ou là".

 

(Lire aussi : Washington : Pour que le problème de l'EI puisse être résolu, Assad doit partir)

 

Sans reconnaître officiellement la perte de Jisr al-Choughour, il a rendu hommage aux forces du régime qui sont assiégées par les rebelles dans un hôpital du sud de la ville. "L'armée va arriver bientôt vers ses héros bloqués dans l'hôpital de Jisr al-Choughour", a-t-il assuré. Depuis deux semaines, 150 soldats sont assiégés dans cet hôpital et de violents accrochages les opposent au Front al-Nosra, la branche syrienne d'el-Qaëda, et d'autres rebelles islamistes qui les encerclent.

Sur le plan international, M. Assad a qualifié le président turc Recep Tayyip Erdogan d"'assassin" et l'a comparé à Jamal Pacha, le gouverneur ottoman de la Grande Syrie, surnommé le "boucher" pour avoir, le 6 mai 1916, pendu des nationalistes arabes à Damas et Beyrouth. La Journée des martyrs a été instituée en leur mémoire.

 

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commentaires (4)

Avec ses last débâcles à l’aSSadique, se termine la période de gestation de la Révolution syrienne, sa période de gourme bääSSyrienne. Le siège de la Saine population 1 fois de par ces grands faits allégée, l'action Saine de cette Syrienne reprend de + belle. Après l’agression, la répression et les insanités bääSSdiotistes, les revoilà qui reprennent du poil de la bête nos Sains, deviennent de + en + contestataires et se radicalisent. Leurs percées secrètes croissent en intensité, à mesure que leurs menées en pleine lumière deviennent impossibles. La société civile, tolérée comme insignifiante par le bääSSyrien, devient 1 autre moyen de renforcer la Révolution syrienne. L’existence encore de cet aSSadique ayant enlevé aux différentes parties de cette Saine syrienne l’aura de leurs chefs officiels, la population ultra-Saine qui résiste, elle, y gagne d'agir comme tel de son propre chef. Les aSSadiots intimident en prophétisant des horreurs de la Révolution ; mais les grossièretés et les atrocités de leur conTre-révolution, immaculent par là-même cette Saine Révolution ! Quant aux petits "épiciers et moyens" mécontents vu leur croissante précarité, ils commencent enfin à préférer les prédictions de cette Saine avec ses problèmes aux atrocités de la répression bääSSyrienne avec son caractère de désespoir réel ! En sus, de ce côté-ci de la frontière, aucun chréti(e)n ne fait encore + de propagande bääSSyrienne que le boSSfèèèr-(h)amer. A chaque (h)amer selon ses œuvres, mahééék ?

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

12 h 42, le 07 mai 2015

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Commentaires (4)

  • Avec ses last débâcles à l’aSSadique, se termine la période de gestation de la Révolution syrienne, sa période de gourme bääSSyrienne. Le siège de la Saine population 1 fois de par ces grands faits allégée, l'action Saine de cette Syrienne reprend de + belle. Après l’agression, la répression et les insanités bääSSdiotistes, les revoilà qui reprennent du poil de la bête nos Sains, deviennent de + en + contestataires et se radicalisent. Leurs percées secrètes croissent en intensité, à mesure que leurs menées en pleine lumière deviennent impossibles. La société civile, tolérée comme insignifiante par le bääSSyrien, devient 1 autre moyen de renforcer la Révolution syrienne. L’existence encore de cet aSSadique ayant enlevé aux différentes parties de cette Saine syrienne l’aura de leurs chefs officiels, la population ultra-Saine qui résiste, elle, y gagne d'agir comme tel de son propre chef. Les aSSadiots intimident en prophétisant des horreurs de la Révolution ; mais les grossièretés et les atrocités de leur conTre-révolution, immaculent par là-même cette Saine Révolution ! Quant aux petits "épiciers et moyens" mécontents vu leur croissante précarité, ils commencent enfin à préférer les prédictions de cette Saine avec ses problèmes aux atrocités de la répression bääSSyrienne avec son caractère de désespoir réel ! En sus, de ce côté-ci de la frontière, aucun chréti(e)n ne fait encore + de propagande bääSSyrienne que le boSSfèèèr-(h)amer. A chaque (h)amer selon ses œuvres, mahééék ?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    12 h 42, le 07 mai 2015

  • ASSAD L'ADMET ! SES COMPARSES... DE CHEZ NOUS... CLAIRONNENT "DIVINEMENT"... POUR LAVER LES CERVEAUX DES STUPIDES QUI LES SUIVENT... LE CONTRAIRE ! QUE DE RIRES !!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    08 h 59, le 07 mai 2015

  • il finira comme les autres,lynche par une population qu'ils ont méprisée durant des décennies....

    Christine KHALIL

    19 h 19, le 06 mai 2015

  • LE COMMENCEMENT DE LA FIN !

    LA LIBRE EXPRESSION

    18 h 07, le 06 mai 2015

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