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Liban

Ils ont dit...

- Michel Sleiman, ancien président de la République : « Il est nécessaire de prendre garde aux visées électorales de Netanyahu et d'Israël pour pousser le Liban à violer la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'Onu. Il ne faut pas permettre à Israël de saboter la stabilité relative du pays, créée par le dialogue interne. Les composantes libanaises doivent soutenir le gouvernement en ces moments troubles afin qu'Israël ne puisse profiter d'une position libanaise divisée, notamment en l'absence d'un président. Avoir l'État comme unique référence et garder une position unie confèrent au Liban une immunité pour surmonter cette étape difficile avec le moins de dégâts possibles. »

- Walid Joumblatt, chef du Parti socialiste progressiste, sur Twitter : « Il semble que nous entrons dans une phase de grands bouleversements. L'opération de la Résistance a rappelé à Israël que jouer avec le feu a un prix, mais cela n'empêche pas le fait de prendre des mesures nécessaires afin de contrer toute attaque. »

- Samir Geagea, chef des Forces libanaises, sur Twitter : « Je présente mes chaleureuses condoléances au commandement de la Finul et au gouvernement espagnol pour le martyre du soldat espagnol à la suite du bombardement israélien contre le sud du Liban. »

- Fayez Chokr, ancien ministre et secrétaire du parti Bass au Liban : « Cette opération affecte l'entité israélienne et sa politique, puisque l'attaque a visé l'État hébreu au cœur de son antre. Elle affectera l'état psychologique du régime israélien et constitue une réponse à tous ceux qui s'en prennent à l'axe de la Résistance. »

- Le chef du parti Tawhid, Wi'am Wahhab : « L'opération audacieuse de la Résistance qui a visé les forces d'occupation israéliennes est une réaction naturelle aux crimes de l'État hébreu. »
- Élie Marouni, député des Kataëb : « Nous espérons que la réponse israélienne ne sera pas grande. Nous avons longtemps mis en garde contre ce scénario et avons revendiqué que la décision de guerre et de paix soient aux mains de l'État. Après l'attaque de Kuneitra, nous avons rappelé que toute réponse devrait se faire depuis l'extérieur du territoire libanais. Toutefois, il y a une décision de préserver la stabilité du Liban, ce qui signifie que les événements ne devraient pas prendre une tournure dramatique. »

- Farès Souhaid, coordinateur général du 14 Mars : « La réponse du Hezbollah à l'opération de Kuneitra est une aventure, une violation de la résolution 1701 et une opération qui brise l'unanimité libanaise. Nous sommes tous dans un vrai pétrin national. Le Hezbollah met encore une fois le pays devant un choix impossible et se fiche pas mal de décider à la place du gouvernement libanais, dont il est l'une des composantes. »
- Le mouvement Amal, dans un communiqué : « En ce moment politique difficile, il est nécessaire que toutes les forces internes, arabes et islamiques soient aux côtés de la Résistance, qui reste le seul moyen de libérer nos territoires occupés. »

- Le mouvement Hamas, dans un communiqué : « La riposte aux crimes des forces de l'occupation israélienne, dont celui de Kuneitra, est un droit légitime à la Résistance dans sa lutte contre le terrorisme et les comportements hostiles des forces d'occupation. »

- Émile Lahoud, ancien président : « La réponse de la Résistance honore le Liban. L'équation installée depuis le temps de la victoire subsiste toujours : toute attaque israélienne requiert une réponse appropriée, surtout que l'ennemi sait aujourd'hui que les capacités de la Résistance ont augmenté. On appelle cela un équilibre de la terreur, mais c'est en vérité une équation qui émane de la force du Liban, de son peuple, de son armée et de sa Résistance. Le temps des défaites est révolu. »

- Ahmad Fatfat, député du courant du Futur : « Le Hezbollah s'est encore joué de la souveraineté et de la sécurité du Liban sans en référer à l'État. Le seul espoir aujourd'hui est d'accélérer les initiatives diplomatiques avec tous ceux qui peuvent faire pression sur Israël, pour éviter toute riposte similaire à celle de 2006. »

- Adnane Mansour, ancien ministre : « L'opération du Hezbollah prouve que la Résistance est fin prête à répondre à toute attaque. Il ne s'agit pas d'une violation de la 1701, puisque l'attaque a eu lieu dans les hameaux de Chebaa. »

- Ali Osseirane, député du bloc de la Libération et du Développement : « L'armée et les forces de l'ordre travaillent dur pour préserver la stabilité. La situation au Sud et aux frontières Nord et Est requiert des Libanais de rester solidaires et unis, notamment au sein du gouvernement. »

- Michel Sleiman, ancien président de la République : « Il est nécessaire de prendre garde aux visées électorales de Netanyahu et d'Israël pour pousser le Liban à violer la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'Onu. Il ne faut pas permettre à Israël de saboter la stabilité relative du pays, créée par le dialogue interne. Les composantes libanaises doivent soutenir le...
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