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Liban

Le 8 Mars recherche des « garanties politiques »

L'attentat de Haret Hreik a été condamné par toutes les parties, qui l'ont qualifié « de terroriste ».
Le Parti national libéral l'a situé dans la suite de la guerre syrienne, « dont nous avions réclamé la distanciation afin d'éviter justement la situation actuelle où se trouve le pays ». Il a appelé les services de sécurité à « renforcer leur coopération pour plus d'efficacité ».
Le Amid du Bloc national, Carlos Eddé, a relevé l'alternative actuelle : « Soit le retour au règne de la loi, soit l'affront dans les rues à coups de fusils et de voitures piégées. » Dans ce contexte, « une grande part de la responsabilité incombe aux organismes sécuritaires et judiciaires », a-t-il affirmé.
Pour le 8 Mars, « c'est l'absence de garanties politiques qui cause l'état d'insécurité ». C'est ce qu'a exprimé une délégation du Tachnag, incluant le député Hagop Pakradounian, à partir du siège du Parti syrien national social. Les deux parties ont appelé à « la formation d'un cabinet fédérateur ».
Pour le général Jamil Sayyed, il ne fait pas de doute que « c'est le 8 Mars qui est soucieux de la stabilité nationale ».
La nécessité d'une « position unie et sincère » a été aussi soulignée par le Conseil supérieur grec-catholique.
La solution serait, selon le président des instances économiques Adnane Kassar, « le retour au dialogue et la prise de décision audacieuse qui immuniserait le Liban ».

 

L'attentat de Haret Hreik a été condamné par toutes les parties, qui l'ont qualifié « de terroriste ».Le Parti national libéral l'a situé dans la suite de la guerre syrienne, « dont nous avions réclamé la distanciation afin d'éviter justement la situation actuelle où se trouve le pays ». Il a appelé les services de sécurité à « renforcer leur coopération pour plus...

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