Le patriarche grec-orthodoxe à l’ouverture des travaux du saint synode.
À l’ouverture, mardi, des travaux annuels du saint synode de l’Église grecque-orthodoxe, à Balamand, le patriarche Youhanna X Yazigi a soulevé l’affaire des deux évêques Boulos Yazigi, son frère (grec-orthodoxe), et Youhanna Ibrahim (syrien-orthodoxe), enlevés depuis plusieurs mois en Syrie, et dont on est sans nouvelles. Il s’est indigné « de la manière dont certains gouvernements traitent ce dossier, et de la manière dont on nous garde sans informations vérifiées et crédibles ».
En même temps, le patriarche a fait état de nombreux contacts dont il parlera, a-t-il précisé, « au moment opportun et en temps utile ».
« Nous demandons aux ravisseurs, à la communauté internationale et aux gouvernements concernés de manier ce dossier avec responsabilité », a-t-il dit, dans une conférence de presse qui a précédé les travaux du synode, qui se tiennent à huis clos.
On sait que le directeur général de la Sûreté libanaise, le général Abbas Ibrahim, s’emploie à coordonner avec les services de renseignements du Qatar et de la Turquie les efforts pour localiser les deux évêques et obtenir leur libération.
Le patriarche Yazigi a affirmé ignorer s’ils sont en vie ou morts. « Nous n’avons aucune information sûre à ce sujet, ni dans un sens ni dans l’autre », a-t-il indiqué.
La réunion du saint synode porte sur la crise régionale, et en particulier la situation en Syrie.
« Nous soulignons à nouveau l’importance de nous accepter les uns les autres, chrétiens et musulmans. Nous insistons sur le fait que nous sommes une seule famille, avec un avenir commun, et que ce qui affecte les uns affecte les autres », a affirmé le patriarche, soulignant que le synode abordera les trois dossiers des déplacés, des prisonniers et des otages.
Mgr Yazigi a de nouveau insisté sur le fait que la solution de la crise syrienne passe par le dialogue politique.
Notons que le saint synode a élu hier deux nouveaux évêques : Ignace Haouchi (France et Europe occidentale) et Ishak Barakat (Allemagne et Europe centrale).
En même temps, le patriarche a fait état de nombreux contacts dont il parlera, a-t-il précisé, « au moment opportun et en temps utile ».
« Nous demandons aux ravisseurs, à la communauté internationale et aux gouvernements concernés de manier ce dossier avec responsabilité », a-t-il dit, dans une conférence de presse qui a précédé les travaux du synode, qui se tiennent à huis clos.
On sait que le directeur général de la Sûreté libanaise, le général Abbas Ibrahim, s’emploie à coordonner avec les services de renseignements du Qatar et de la Turquie les efforts pour localiser les deux évêques et obtenir leur libération.
Le patriarche Yazigi a affirmé ignorer s’ils sont en vie ou morts. « Nous n’avons aucune information sûre à ce sujet, ni dans un sens ni dans l’autre », a-t-il indiqué.
La réunion du saint synode porte sur la crise régionale, et en particulier la situation en Syrie.
« Nous soulignons à nouveau l’importance de nous accepter les uns les autres, chrétiens et musulmans. Nous insistons sur le fait que nous sommes une seule famille, avec un avenir commun, et que ce qui affecte les uns affecte les autres », a affirmé le patriarche, soulignant que le synode abordera les trois dossiers des déplacés, des prisonniers et des otages.
Mgr Yazigi a de nouveau insisté sur le fait que la solution de la crise syrienne passe par le dialogue politique.
Notons que le saint synode a élu hier deux nouveaux évêques : Ignace Haouchi (France et Europe occidentale) et Ishak Barakat (Allemagne et Europe centrale).
À l’ouverture, mardi, des travaux annuels du saint synode de l’Église grecque-orthodoxe, à Balamand, le patriarche Youhanna X Yazigi a soulevé l’affaire des deux évêques Boulos Yazigi, son frère (grec-orthodoxe), et Youhanna Ibrahim (syrien-orthodoxe), enlevés depuis plusieurs mois en Syrie, et dont on est sans nouvelles. Il s’est indigné « de la manière dont certains...
Si....ou que?
04 h 13, le 18 octobre 2013