Le monde est-il devenu fou ? Dingue à lier, complètement déboussolé ? À suivre les événements qui marquent l’actualité, la question ne semble pas saugrenue. Opération terroriste au Kenya, raids de représailles américains en Somalie et en Libye, réveil violent des antagonismes communautaires, chocs des cultures et des religions, tous les ingrédients sont réunis pour entretenir la machine infernale.
D’un terrorisme d’États à celui d’organisations jihadistes élevées dans le giron de ces mêmes États, le monde est confronté à une troisième guerre mondiale qui ne dit pas son nom, à une internationale terroriste qui viole les frontières, sème l’anarchie, laisse sur son passage mort et destruction. Une guerre de l’ombre où les adversaires se combattent sans se voir, où l’arme utilisée fraye un chemin aux exterminations de masse, aux nettoyages ethniques et communautaires.
Avions pulvérisés en plein vol à l’époque de Mouammar Kadhafi, avions percutant le World Trade Center quand Ben Laden se croyait invulnérable et, aujourd’hui, une Libye éclatée, exportatrice de terroristes en puissance, et un Afghanistan que les Américains s’apprêtent à abandonner dans l’état où ils ont laissé l’Irak : chaos total et pépinière de fous de Dieu déterminés à façonner le monde à leur image.
De l’Asie à l’Afrique, de l’Amérique à l’Europe, le nouvel « axe du mal » grappille ainsi du terrain, fait de nouveaux adeptes, frappe à nos portes et s’implante dans une Syrie désemparée, livrée à la barbarie d’un régime dont les « faits glorieux » ne se comptent plus et à celle de qaëdistes qui ont appris, au fil des atrocités, à « raffiner » l’art du sadisme, celui-là même qu’ils exercent en Irak à coups de voitures piégées.
Et en toile de fond l’inévitable haine de l’Occident, des valeurs qu’il véhicule, d’une société de consommation perçue comme une insulte à des populations croupissant dans la misère. Une haine génératrice d’un jihadisme fou qui ne voit de salut que dans l’imposition de la charia à tout le monde musulman et dans l’extension du combat à l’Ouest « hérétique ».
Troisième guerre mondiale ? Sans nul doute, parce qu’elle englobe tous les continents et ne fait pas mystère de ses intentions. Mais une guerre sournoise, pernicieuse, qui prend tout son temps et qui table sur la peur qu’elle provoque chez l’adversaire : il suffit ainsi d’une femme dépressive au volant d’une voiture disjonctée à Washington pour que le Congrès américain soit bouclé et la Maison-Blanche placée sous haute surveillance !
Misère, ignorance et colère haineuse d’un côté, arrogance, égoïsme et déni des réalités de l’autre : l’internationale terroriste a encore de beaux jours devant elle... la traque des hors-la-loi aussi.
D’un terrorisme d’États à celui d’organisations jihadistes élevées dans le giron de ces mêmes États, le monde est confronté à une troisième guerre mondiale qui ne dit pas son nom, à une internationale terroriste qui viole les frontières, sème l’anarchie, laisse sur son passage mort et destruction. Une guerre de l’ombre où les adversaires se combattent sans se voir, où l’arme utilisée fraye un chemin aux exterminations de masse, aux nettoyages ethniques et communautaires.
Avions pulvérisés en plein vol à l’époque de Mouammar Kadhafi, avions percutant le World Trade Center quand Ben Laden se croyait invulnérable et, aujourd’hui, une Libye éclatée, exportatrice de terroristes en puissance, et un Afghanistan que les Américains s’apprêtent à abandonner dans l’état où ils ont laissé l’Irak : chaos total et pépinière de fous de Dieu déterminés à façonner le monde à leur image.
De l’Asie à l’Afrique, de l’Amérique à l’Europe, le nouvel « axe du mal » grappille ainsi du terrain, fait de nouveaux adeptes, frappe à nos portes et s’implante dans une Syrie désemparée, livrée à la barbarie d’un régime dont les « faits glorieux » ne se comptent plus et à celle de qaëdistes qui ont appris, au fil des atrocités, à « raffiner » l’art du sadisme, celui-là même qu’ils exercent en Irak à coups de voitures piégées.
Et en toile de fond l’inévitable haine de l’Occident, des valeurs qu’il véhicule, d’une société de consommation perçue comme une insulte à des populations croupissant dans la misère. Une haine génératrice d’un jihadisme fou qui ne voit de salut que dans l’imposition de la charia à tout le monde musulman et dans l’extension du combat à l’Ouest « hérétique ».
Troisième guerre mondiale ? Sans nul doute, parce qu’elle englobe tous les continents et ne fait pas mystère de ses intentions. Mais une guerre sournoise, pernicieuse, qui prend tout son temps et qui table sur la peur qu’elle provoque chez l’adversaire : il suffit ainsi d’une femme dépressive au volant d’une voiture disjonctée à Washington pour que le Congrès américain soit bouclé et la Maison-Blanche placée sous haute surveillance !
Misère, ignorance et colère haineuse d’un côté, arrogance, égoïsme et déni des réalités de l’autre : l’internationale terroriste a encore de beaux jours devant elle... la traque des hors-la-loi aussi.
Le monde est-il devenu fou ? Dingue à lier, complètement déboussolé ? À suivre les événements qui marquent l’actualité, la question ne semble pas saugrenue. Opération terroriste au Kenya, raids de représailles américains en Somalie et en Libye, réveil violent des antagonismes communautaires, chocs des cultures et des religions, tous les ingrédients sont réunis pour entretenir la...
Explication de texte pour ceux qui font exprès de ne pas comprendre et qui cherchent bêtement des poux là où il n'y en a pas : depuis la fin de la 2ème guerre mondiale, les guerres permanentes ont remplacé une éventuelle 3ème guerre mondiale. On peut aussi considérer que ces guerres permanentes sont la 3ème guerre mondiale, l'autre guerre quoi. Bref, s'adresser à des néo-nazis ne mérite pas plus que ça comme perte de temps.
17 h 56, le 07 octobre 2013