« Le chauffeur libanais paie, au moment où le chauffeur syrien travaille sans rendre des comptes, sans surveillance ou même sans le moindre permis de travail qui profite à l’État libanais », a déploré M. Fayad, précisant que « le chauffeur est laissé pour compte et lutte pour nourrir sa famille ». Et d’inviter les autorités à fixer le prix des 20 litres d’essence à l’intention des conducteurs des transports publics, et à adopter un décret les exemptant des droits de douane, d’enregistrement et de la taxe mécanique, afin de leur permettre de renouveler leurs véhicules. Le président du syndicat a enfin appelé la direction de la CNSS à émettre des cartes de santé que le malade pourrait présenter aux pharmacies et aux hôpitaux.
Liban
Menace de grève des taxis suite à la concurrence des chauffeurs syriens
OLJ / le 19 septembre 2013 à 00h04
« Le chauffeur libanais paie, au moment où le chauffeur syrien travaille sans rendre des comptes, sans surveillance ou même sans le moindre permis de travail qui profite à l’État libanais », a déploré M. Fayad, précisant que « le chauffeur est laissé pour compte et lutte pour nourrir sa famille ». Et d’inviter les autorités à fixer le prix des 20 litres d’essence à l’intention des conducteurs des transports publics, et à adopter un décret les exemptant des droits de douane, d’enregistrement et de la taxe mécanique, afin de leur permettre de renouveler leurs véhicules. Le président du syndicat a enfin appelé la direction de la CNSS à émettre des cartes de santé que le malade pourrait présenter aux pharmacies et aux hôpitaux.