Selon une étude effectuée par le portail régional de recherche d’emploi Bayt.com, les employeurs au Liban seraient « moins susceptibles de recruter du personnel dans les trois mois à venir tout comme dans les douze prochains mois qu’ils ne l’étaient au début de l’année. L’étude a été conduite en juin et juillet 2013. Près de 3 430 personnes ont été interrogées dans la région MENA (Moyen-Orient Nord de l’Afrique) et le Pakistan ».
Les résultats de l’étude ont montré que 27 % des entreprises interviewées au Liban ont indiqué être sûres d’embaucher dans les trois mois à venir, contre 38 % qui envisageaient de recruter en janvier 2013. À titre de comparaison, 30 % des sondés dans la région ont déclaré être sûrs d’embaucher dans les trois mois à venir. Les prévisions de recrutement des entreprises libanaises ont ainsi été classées comme les 6es moins importantes parmi 14 économies couvertes par l’étude de Bayt.com, à l’instar de l’Algérie, mais plus élevées que l’Égypte (22 %), Bahreïn (20 %), la Tunisie (19 %), la Syrie (18 %) et le Maroc (17 %). En janvier 2013, les prévisions de recrutement des entreprises libanaises étaient les secondes plus élevées parmi ces économies.
Par ailleurs, 23 % des responsables interrogés au Liban ont déclaré « être susceptibles d’embaucher dans les trois prochains mois contre 25 % des sondés qui partageaient la même opinion en janvier 2013 ». À titre de comparaison, au niveau régional, 25 % des entreprises ayant participé à l’étude ont déclaré être « susceptibles d’employer dans les trois mois à venir ». Le Liban a ainsi enregistré le 4e taux le plus bas de la région dans cette catégorie, arrivant à égalité avec le Koweït et le sultanat d’Oman, avec un taux seulement plus élevé que le Maroc (21 %), Bahreïn (18 %) et le Pakistan (17 %). Il est important de préciser que le Liban avait affiché le cinquième taux le plus bas de la région en janvier 2013.
Cependant, 23 % des entreprises libanaises ayant participé à l’étude ne prévoient pas de recruter de nouveaux employés dans les mois à venir, contre 17 % de compagnies interrogées lors de la précédente étude réalisée en janvier 2013. À titre de comparaison, seulement 15 % des interrogés dans la région n’ont pas l’intention de recruter dans les mois à venir. Le Liban a affiché le 3e taux le plus élevé parmi les 14 économies incluses dans l’étude, la Syrie et Bahreïn enregistrant des taux de 35 % et 28 % respectivement.
Par ailleurs, 24 % des sondés libanais prévoient « d’embaucher définitivement » dans les douze prochains mois, en nette diminution par rapport aux 35 % de sondés en janvier 2013 et aux 36 % de participants à l’étude menée en août 2012. Les prévisions de recrutement au Liban sont ainsi les 3es plus faibles parmi les 14 économies couvertes par l’étude, à égalité avec le Maroc, et plus élevées que la Tunisie (23 %) et la Syrie (16 %).
Les résultats de l’étude ont montré que 27 % des entreprises interviewées au Liban ont indiqué être sûres d’embaucher dans les trois mois à venir, contre 38 % qui envisageaient de recruter en janvier 2013. À titre de comparaison, 30 % des sondés dans la région ont déclaré être sûrs d’embaucher dans les trois mois à venir. Les prévisions de recrutement des entreprises libanaises ont ainsi été classées comme les 6es moins importantes parmi 14 économies couvertes par l’étude de Bayt.com, à l’instar de l’Algérie, mais plus élevées que l’Égypte (22 %), Bahreïn (20 %), la Tunisie (19 %), la Syrie (18 %) et le Maroc (17 %). En janvier 2013, les prévisions de recrutement des entreprises libanaises étaient les secondes plus élevées parmi ces économies.
Par ailleurs, 23 % des responsables interrogés au Liban ont déclaré « être susceptibles d’embaucher dans les trois prochains mois contre 25 % des sondés qui partageaient la même opinion en janvier 2013 ». À titre de comparaison, au niveau régional, 25 % des entreprises ayant participé à l’étude ont déclaré être « susceptibles d’employer dans les trois mois à venir ». Le Liban a ainsi enregistré le 4e taux le plus bas de la région dans cette catégorie, arrivant à égalité avec le Koweït et le sultanat d’Oman, avec un taux seulement plus élevé que le Maroc (21 %), Bahreïn (18 %) et le Pakistan (17 %). Il est important de préciser que le Liban avait affiché le cinquième taux le plus bas de la région en janvier 2013.
Cependant, 23 % des entreprises libanaises ayant participé à l’étude ne prévoient pas de recruter de nouveaux employés dans les mois à venir, contre 17 % de compagnies interrogées lors de la précédente étude réalisée en janvier 2013. À titre de comparaison, seulement 15 % des interrogés dans la région n’ont pas l’intention de recruter dans les mois à venir. Le Liban a affiché le 3e taux le plus élevé parmi les 14 économies incluses dans l’étude, la Syrie et Bahreïn enregistrant des taux de 35 % et 28 % respectivement.
Par ailleurs, 24 % des sondés libanais prévoient « d’embaucher définitivement » dans les douze prochains mois, en nette diminution par rapport aux 35 % de sondés en janvier 2013 et aux 36 % de participants à l’étude menée en août 2012. Les prévisions de recrutement au Liban sont ainsi les 3es plus faibles parmi les 14 économies couvertes par l’étude, à égalité avec le Maroc, et plus élevées que la Tunisie (23 %) et la Syrie (16 %).
Selon une étude effectuée par le portail régional de recherche d’emploi Bayt.com, les employeurs au Liban seraient « moins susceptibles de recruter du personnel dans les trois mois à venir tout comme dans les douze prochains mois qu’ils ne l’étaient au début de l’année. L’étude a été conduite en juin et juillet 2013. Près de 3 430 personnes ont été interrogées dans la...