Comme décidé lundi, au cours de la réunion extraordinaire de coordination qui s’était tenue à Majdalyoun, à Saïda, en présence de Mme Bahia Hariri, présidente de la commission parlementaire de l’Éducation, du mohafez du Liban-Sud, Nicolas Abou Daher, du président du conseil municipal de la ville, Mohammad Saoudi, du président de l’Association des commerçants, Ali Chérif, et des responsables militaires et de sécurité de la région, une série de mesures de sécurité préventives ont commencé hier à être appliquées à Saïda.
Celles-ci sont motivées par les craintes d’attentats à la voiture piégée et les appels des autorités à la vigilance. Après les attentats de Roueiss et de Tripoli, Saïda, ville sunnite par excellence, se considère comme une cible potentielle, au même titre que d’autres localités sunnites ou chiites.
Des unités de l’armée et des FSI se sont déployées massivement aux entrées du chef-lieu du Liban-Sud et ont procédé, en coordination avec la municipalité, à des vérifications d’identité des automobilistes, ainsi qu’à une fouille minutieuse des voitures, pendant que des patrouilles mobiles et pédestres arpentaient les rues de la ville, empêchant le stationnement de voitures dans les rues encombrées. Parallèlement, les voitures ont été interdites de circulation dans les souks de Saïda, accessibles seulement aux piétons ainsi qu’aux camionnettes appelées à décharger de la marchandise.
La psychose des attentats a également atteint les camps palestiniens alentour dont les services de sécurité ont adopté une série de mesures de nature à barrer la voie à des incidents pouvant ébranler la sécurité des camps. Des balises ont été installées à l’intérieur des camps de Aïn el-Héloué, de Rachidiyé et de Miyé w Miyé au bord des routes pour empêcher les voitures de stationner. Les habitants ont été priés de garer leurs véhicules dans des parkings soumis à un contrôle et à une surveillance très stricts.
À l’agence locale al-Markaziya, le responsable de la Sécurité nationale palestinienne au Liban, le général Sobhi Abou Arab, a fait état d’une coordination et d’une coopération étroites avec les services libanais de l’ordre. Il a également indiqué que des réunions sont organisées à un rythme intensif pour prendre les précautions qu’il faut et renforcer les mesures de sécurité dans les camps, en coopération avec toutes les factions palestiniennes et les comités populaires.
Celles-ci sont motivées par les craintes d’attentats à la voiture piégée et les appels des autorités à la vigilance. Après les attentats de Roueiss et de Tripoli, Saïda, ville sunnite par excellence, se considère comme une cible potentielle, au même titre que d’autres localités sunnites ou chiites.
Des unités de l’armée et des FSI se sont déployées massivement aux entrées du chef-lieu du Liban-Sud et ont procédé, en coordination avec la municipalité, à des vérifications d’identité des automobilistes, ainsi qu’à une fouille minutieuse des voitures, pendant que des patrouilles mobiles et pédestres arpentaient les rues de la ville, empêchant le stationnement de voitures dans les rues encombrées. Parallèlement, les voitures ont été interdites de circulation dans les souks de Saïda, accessibles seulement aux piétons ainsi qu’aux camionnettes appelées à décharger de la marchandise.
La psychose des attentats a également atteint les camps palestiniens alentour dont les services de sécurité ont adopté une série de mesures de nature à barrer la voie à des incidents pouvant ébranler la sécurité des camps. Des balises ont été installées à l’intérieur des camps de Aïn el-Héloué, de Rachidiyé et de Miyé w Miyé au bord des routes pour empêcher les voitures de stationner. Les habitants ont été priés de garer leurs véhicules dans des parkings soumis à un contrôle et à une surveillance très stricts.
À l’agence locale al-Markaziya, le responsable de la Sécurité nationale palestinienne au Liban, le général Sobhi Abou Arab, a fait état d’une coordination et d’une coopération étroites avec les services libanais de l’ordre. Il a également indiqué que des réunions sont organisées à un rythme intensif pour prendre les précautions qu’il faut et renforcer les mesures de sécurité dans les camps, en coopération avec toutes les factions palestiniennes et les comités populaires.
Comme décidé lundi, au cours de la réunion extraordinaire de coordination qui s’était tenue à Majdalyoun, à Saïda, en présence de Mme Bahia Hariri, présidente de la commission parlementaire de l’Éducation, du mohafez du Liban-Sud, Nicolas Abou Daher, du président du conseil municipal de la ville, Mohammad Saoudi, du président de l’Association des commerçants, Ali Chérif, et...