C’est ainsi que le comité exécutif des Kataëb, qui s’est réuni hier sous la présidence de son chef, l’ancien président de la République Amine Gemayel, a choisi de rédiger le début de son communiqué. Dénonçant « les violations syriennes continues aux frontières », les Kataëb ont mis en valeur « les mesures sécuritaires au niveau des couloirs frontaliers avec la Syrie, notamment dans les régions de Masnaa, Abboudieh et Arida ». Les Kataëb ont en même temps exhorté les autorités à « poursuivre les cellules terroristes actives ou dormantes, et qui tentent de provoquer une discorde au Liban par le biais d’explosions itinérantes (allusion à l’incident de Daraya) ». Par ailleurs, « devant les atermoiements dans le dossier ministériel », les Kataëb ont mis en garde contre le cumul et l’entremêlement des problèmes. « Il est nécessaire d’accorder la priorité au règlement des problèmes entravant la formation du gouvernement », a ajouté le communiqué, estimant que « la formation d’un cabinet fort est un passage obligatoire pour la résolution des obstacles accumulés, d’autant que la crise commence à s’étendre et à se compliquer ».
Liban
Pour les Kataëb, « le danger imminent » impose un cabinet « fort »
OLJ / le 06 août 2013 à 00h41
C’est ainsi que le comité exécutif des Kataëb, qui s’est réuni hier sous la présidence de son chef, l’ancien président de la République Amine Gemayel, a choisi de rédiger le début de son communiqué. Dénonçant « les violations syriennes continues aux frontières », les Kataëb ont mis en valeur « les mesures sécuritaires au niveau des couloirs frontaliers avec la Syrie, notamment dans les régions de Masnaa, Abboudieh et Arida ». Les Kataëb ont en même temps exhorté les autorités à « poursuivre les cellules terroristes actives ou dormantes, et qui tentent de provoquer une discorde au Liban par le biais d’explosions itinérantes (allusion à l’incident de Daraya) ». Par ailleurs, « devant les atermoiements dans le dossier ministériel », les Kataëb ont mis en garde contre le cumul et l’entremêlement des problèmes. « Il est nécessaire d’accorder la priorité au règlement des problèmes entravant la formation du gouvernement », a ajouté le communiqué, estimant que « la formation d’un cabinet fort est un passage obligatoire pour la résolution des obstacles accumulés, d’autant que la crise commence à s’étendre et à se compliquer ».