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Liban

Pour les Kataëb, « le danger imminent » impose un cabinet « fort »

« Devant la paralysie et le vide programmé contre des institutions nationales fondamentales (...), les Kataëb s’interrogent sur la volonté et surtout la capacité des responsables à faire face au danger imminent qui se traduit au sein du pays en chaos sécuritaire, et en transgressions répétées de la souveraineté aux frontières (...). »
C’est ainsi que le comité exécutif des Kataëb, qui s’est réuni hier sous la présidence de son chef, l’ancien président de la République Amine Gemayel, a choisi de rédiger le début de son communiqué. Dénonçant « les violations syriennes continues aux frontières », les Kataëb ont mis en valeur « les mesures sécuritaires au niveau des couloirs frontaliers avec la Syrie, notamment dans les régions de Masnaa, Abboudieh et Arida ». Les Kataëb ont en même temps exhorté les autorités à « poursuivre les cellules terroristes actives ou dormantes, et qui tentent de provoquer une discorde au Liban par le biais d’explosions itinérantes (allusion à l’incident de Daraya) ». Par ailleurs, « devant les atermoiements dans le dossier ministériel », les Kataëb ont mis en garde contre le cumul et l’entremêlement des problèmes. « Il est nécessaire d’accorder la priorité au règlement des problèmes entravant la formation du gouvernement », a ajouté le communiqué, estimant que « la formation d’un cabinet fort est un passage obligatoire pour la résolution des obstacles accumulés, d’autant que la crise commence à s’étendre et à se compliquer ».
« Devant la paralysie et le vide programmé contre des institutions nationales fondamentales (...), les Kataëb s’interrogent sur la volonté et surtout la capacité des responsables à faire face au danger imminent qui se traduit au sein du pays en chaos sécuritaire, et en transgressions répétées de la souveraineté aux frontières (...). »C’est ainsi que le comité exécutif des...
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