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Moyen Orient et Monde

La répression s’accroît avant le scrutin

Les autorités iraniennes ont multiplié les arrestations d’opposants et de journalistes dans les derniers jours précédant le premier tour de l’élection présidentielle aujourd’hui, disent plusieurs ONG de défense des droits de l’homme. La campagne électorale s’est achevée hier en Iran, où 50 millions d’électeurs sont invités à élire le successeur de Mahmoud Ahmadinejad à la présidence de la République islamique. « Le régime iranien ne tolère même pas que des activités politiques, autorisées par sa propre législation, soient menées par des personnalités qui ont pourtant obtenu l’accord du Conseil des gardiens, déjà sélectif », explique Hadi Ghaemi de l’ONG new-yorkaise International Campaign for Human Rights in Iran. Reporters sans frontières (RSF) annonce de son côté l’arrestation depuis le 4 juin de deux journalistes qui travaillent pour des publications réformatrices, et dénonce le « harcèlement » mené par les autorités iraniennes. RSF dit en outre que Téhéran accorde très peu de visas aux journalistes étrangers et empêche de circuler librement ceux qui ont été autorisés à entrer en Iran.
Les autorités iraniennes ont multiplié les arrestations d’opposants et de journalistes dans les derniers jours précédant le premier tour de l’élection présidentielle aujourd’hui, disent plusieurs ONG de défense des droits de l’homme. La campagne électorale s’est achevée hier en Iran, où 50 millions d’électeurs sont invités à élire le successeur de Mahmoud Ahmadinejad à...
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