La chute de Qousseir, en Syrie, pourrait compliquer le dossier des neuf pèlerins chiites détenus à Aazaz, en riposte à l’implication du Hezbollah dans les combats en Syrie, selon des sources politiques citées par l’agence al-Markaziya. Le dossier n’a pourtant jamais été associé à la crise syrienne « comme l’ont d’ailleurs montré les négociations menées depuis plus d’un an entre le Liban et les ravisseurs, à travers le médiateur turque », ont ajouté ces sources. Elles indiquent dans ce cadre que « la politique d’atermoiement adoptée par les ravisseurs (...) pourrait évoluer vers une complication croissante, malgré tous les indices positifs, d’autant que la dernière réunion tenue en Turquie (...) a réservé des surprises désagréables pour le Liban ». Au nombre de ces surprises notamment « la remise d’une nouvelle liste rectifiée des noms de femmes détenues en Syrie » que les ravisseurs appellent à libérer en échange des pèlerins. De plus, les ravisseurs n’ont pas été représentés à la réunion en Turquie, sachant que le Liban avait exprimé le souhait de négocier directement avec eux.
La chute de Qousseir, en Syrie, pourrait compliquer le dossier des neuf pèlerins chiites détenus à Aazaz, en riposte à l’implication du Hezbollah dans les combats en Syrie, selon des sources politiques citées par l’agence al-Markaziya. Le dossier n’a pourtant jamais été associé à la crise syrienne « comme l’ont d’ailleurs montré les négociations menées depuis plus d’un...
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