Des dizaines de candidats aux élections législatives se sont présentés hier au ministère de l’Intérieur deux jours avant l’expiration du délai constitutionnel pour le dépôt des candidatures. Les retardataires n’ont, en effet, plus que la journée de lundi pour soumettre leur dossier, samedi et dimanche étant fériés.
Faute d’un consensus sur une nouvelle loi électorale, les principaux partis politiques du 8 et du 14 Mars, à l’exception notable des Kataëb, ont soumis leurs candidatures sur la base de la loi de 1960.
Certains candidats aux élections ont fait le déplacement eux-mêmes, leur dossier sous le bras, alors que d’autres ont chargé un représentant ou un avocat de le faire à leur place.
Ainsi, le président de la Chambre et chef du mouvement Amal, Nabih Berry, a dépêché son conseiller Ali Hamdane pour présenter sa candidature aux législatives. Il en est de même du chef du CPL, le général Michel Aoun, dont la candidature a été présentée par l’avocat Walid Dagher.
Plusieurs députés sortants et responsables du courant aouniste se sont aussi présentés. Il s’agit notamment du ministre sortant des Télécoms, Nicolas Sehnaoui, des députés Hekmat Dib et Naji Gharios, ainsi que de Ziad Aabs, Tony Zoghbi, César Abi Khalil et Salim Aoun. Le député Ghassan Moukheiber, membre du bloc du Changement et de la Réforme, était également présent.
« Nous espérions pouvoir présenter les candidatures conformément à la proposition de loi orthodoxe », a déclaré à la presse M. Sehnaoui, alors que M. Moukheiber se disait « profondément désolé » d’avoir à être candidat sous le régime de la loi de 1960.
Des membres du mouvement Amal et des Marada de Sleimane Frangié ont aussi déposé leurs candidatures : Ali Hassan Khalil, Ayoub Hmayed, Abdellatif Zein et Hani Kobeissi pour le premier, et le ministre sortant de la Défense, Fayez Ghosn, ainsi que Estéphane Doueihi et Salim Karam pour les seconds.
Du côté des Forces libanaises, 26 candidatures ont été déposées par l’avocat Fady Moussallem : il y a sur la liste les noms des députés sortants Georges Adwan, Sethrida Geagea, Antoine Zahra et Fady Karam, mais pas celui d’Élie Keyrouz, qui semble ainsi ne pas se représenter. Les autres candidats sont : Dima Ghazalé, Wehbé Katicha, Imad Wakim, Eddy Abillamaa, Richard Kouyoumjian, Chawki Daccache, Josph Ishac, Ajaj Haddad, Élie Tanios Lahoud, Bachir Matar, Hanna Mikhael Nasr, Jean Sawaya, Georges Eid, Youssef Chartouni, Boghos Kourdian, Rabih Frangi, Marwan Rahmé, Antoine Chahla, Georges Matar, Antoine Chalhoub, Riad Aqel et Georges Samaha.
Naoufal Daou, membre du secrétariat général du 14 Mars, s’est pour sa part présenté à titre d’indépendant.
D’autres indépendants du 14 Mars ont aussi déposé leur candidature, notamment les députés Boutros Harb et Michel Pharaon.
Le PNL a présenté quatre candidatures. Ce sont celles de : Élias Abou Assi, Camille Chamoun, Philippe Maalouf et Maroun Hélou. Le chef du parti, Dory Chamoun, déposera la sienne lundi.
Un député du courant du Futur, Ammar Houry, a, pour sa part, indiqué que sa formation avait pris la décision de déposer ses candidatures « pour empêcher les élections d’office ».
Également vus rue Spears, Michel Murr, député indépendant du Metn, le chef du parti Tawhid, Wi’am Wahab, ancien ministre, ainsi que le fils du général Jamil el-Sayed qui a déposé la candidature de son père, ancien directeur de la Sûreté générale.
Le Ramgavar a décidé de présenter la candidature de Sebouh Makhjian au siège arménien-orthodoxe de Beyrouth I. Le député sortant, Jean Oghassabian, avait déjà annoncé sa décision de ne pas se représenter.
Face à l’afflux des candidats, le ministère de l’Intérieur a décidé de repousser de 11h à 14h la fermeture du bureau pour le dépôt des candidatures. On apprenait ainsi en fin d’après-midi que le Hezbollah avait présenté à son tour 14 candidatures
Jeudi, plusieurs personnalités avaient présenté leur candidature : les députés Robert Ghanem (indépendant du 14 Mars) et Ziad Assouad (CPL), ainsi que Massoud Achkar, Jean Hawat, Mohsen Dalloul, Sarkis Sarkis et Georges Cordahi.
Faute d’un consensus sur une nouvelle loi électorale, les principaux partis politiques du 8 et du 14 Mars, à l’exception notable des Kataëb, ont soumis leurs candidatures sur la base de la loi de 1960.
Certains candidats aux élections ont fait le déplacement eux-mêmes, leur dossier sous le bras, alors que d’autres ont chargé un représentant ou un avocat de le faire à leur place.
Ainsi, le président de la Chambre et chef du mouvement Amal, Nabih Berry, a dépêché son conseiller Ali Hamdane pour présenter sa candidature aux législatives. Il en est de même du chef du CPL, le général Michel Aoun, dont la candidature a été présentée par l’avocat Walid Dagher.
Plusieurs députés sortants et responsables du courant aouniste se sont aussi présentés. Il s’agit notamment du ministre sortant des Télécoms, Nicolas Sehnaoui, des députés Hekmat Dib et Naji Gharios, ainsi que de Ziad Aabs, Tony Zoghbi, César Abi Khalil et Salim Aoun. Le député Ghassan Moukheiber, membre du bloc du Changement et de la Réforme, était également présent.
« Nous espérions pouvoir présenter les candidatures conformément à la proposition de loi orthodoxe », a déclaré à la presse M. Sehnaoui, alors que M. Moukheiber se disait « profondément désolé » d’avoir à être candidat sous le régime de la loi de 1960.
Des membres du mouvement Amal et des Marada de Sleimane Frangié ont aussi déposé leurs candidatures : Ali Hassan Khalil, Ayoub Hmayed, Abdellatif Zein et Hani Kobeissi pour le premier, et le ministre sortant de la Défense, Fayez Ghosn, ainsi que Estéphane Doueihi et Salim Karam pour les seconds.
Du côté des Forces libanaises, 26 candidatures ont été déposées par l’avocat Fady Moussallem : il y a sur la liste les noms des députés sortants Georges Adwan, Sethrida Geagea, Antoine Zahra et Fady Karam, mais pas celui d’Élie Keyrouz, qui semble ainsi ne pas se représenter. Les autres candidats sont : Dima Ghazalé, Wehbé Katicha, Imad Wakim, Eddy Abillamaa, Richard Kouyoumjian, Chawki Daccache, Josph Ishac, Ajaj Haddad, Élie Tanios Lahoud, Bachir Matar, Hanna Mikhael Nasr, Jean Sawaya, Georges Eid, Youssef Chartouni, Boghos Kourdian, Rabih Frangi, Marwan Rahmé, Antoine Chahla, Georges Matar, Antoine Chalhoub, Riad Aqel et Georges Samaha.
Naoufal Daou, membre du secrétariat général du 14 Mars, s’est pour sa part présenté à titre d’indépendant.
D’autres indépendants du 14 Mars ont aussi déposé leur candidature, notamment les députés Boutros Harb et Michel Pharaon.
Le PNL a présenté quatre candidatures. Ce sont celles de : Élias Abou Assi, Camille Chamoun, Philippe Maalouf et Maroun Hélou. Le chef du parti, Dory Chamoun, déposera la sienne lundi.
Un député du courant du Futur, Ammar Houry, a, pour sa part, indiqué que sa formation avait pris la décision de déposer ses candidatures « pour empêcher les élections d’office ».
Également vus rue Spears, Michel Murr, député indépendant du Metn, le chef du parti Tawhid, Wi’am Wahab, ancien ministre, ainsi que le fils du général Jamil el-Sayed qui a déposé la candidature de son père, ancien directeur de la Sûreté générale.
Le Ramgavar a décidé de présenter la candidature de Sebouh Makhjian au siège arménien-orthodoxe de Beyrouth I. Le député sortant, Jean Oghassabian, avait déjà annoncé sa décision de ne pas se représenter.
Face à l’afflux des candidats, le ministère de l’Intérieur a décidé de repousser de 11h à 14h la fermeture du bureau pour le dépôt des candidatures. On apprenait ainsi en fin d’après-midi que le Hezbollah avait présenté à son tour 14 candidatures
Jeudi, plusieurs personnalités avaient présenté leur candidature : les députés Robert Ghanem (indépendant du 14 Mars) et Ziad Assouad (CPL), ainsi que Massoud Achkar, Jean Hawat, Mohsen Dalloul, Sarkis Sarkis et Georges Cordahi.
Des dizaines de candidats aux élections législatives se sont présentés hier au ministère de l’Intérieur deux jours avant l’expiration du délai constitutionnel pour le dépôt des candidatures. Les retardataires n’ont, en effet, plus que la journée de lundi pour soumettre leur dossier, samedi et dimanche étant fériés.Faute d’un consensus sur une nouvelle loi électorale, les...
C'est drôle.... si si
12 h 20, le 25 mai 2013