Pourtant, une décennie plus tard, les États-Unis sont de nouveau confrontés à un dictateur, le président syrien Bachar el-Assad, accusé à son tour d’avoir amassé des armes chimiques, d’être soutenu par des groupes que Washington qualifie de « terroristes », comme le Hezbollah, et de massacrer son propre peuple. Mais après deux ans de conflit, même les plus bellicistes aux États-Unis se gardent d’appeler haut et fort à armer directement les rebelles syriens, voire à imposer une zone d’exclusion aérienne. Le président Barack Obama refuse de fournir des armes aux opposants au régime de Damas et s’en tient à une aide non létale, même si les Américains apportent dorénavant une assistance directe alimentaire et médicale à la rébellion sur le terrain.
Moyen Orient et Monde
Le fantôme de l’Irak bloque tout engagement US...
OLJ / le 15 mars 2013 à 00h11
Pourtant, une décennie plus tard, les États-Unis sont de nouveau confrontés à un dictateur, le président syrien Bachar el-Assad, accusé à son tour d’avoir amassé des armes chimiques, d’être soutenu par des groupes que Washington qualifie de « terroristes », comme le Hezbollah, et de massacrer son propre peuple. Mais après deux ans de conflit, même les plus bellicistes aux États-Unis se gardent d’appeler haut et fort à armer directement les rebelles syriens, voire à imposer une zone d’exclusion aérienne. Le président Barack Obama refuse de fournir des armes aux opposants au régime de Damas et s’en tient à une aide non létale, même si les Américains apportent dorénavant une assistance directe alimentaire et médicale à la rébellion sur le terrain.
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